MacManouche.com

De Antibes à Flassans-sur-Issole

Jeudi 21 mars 2019

Notre voiture étant en panne, Fabrice (gendre de Marie-Claude) conduit MacManouche jusqu'à Roquebrune-sur-Agens, au gardiennage du camping-car.

Ensuite MacManouche revient à Antibes en camping-car pour récupérer MimiManouche et Jaïka puis départ du  81ème périple.

Ce soir, on dort Flassans-sur-Issole (83340) comme chaque fois lorsqu'on part d'Antibes...

___________________________________________________________________________

Coordonnées de ce parking de Flassans-sur-Issole : (43° 22’ 1” E 6° 13’ 0.2”)

______________________________________________________________

De Flassans-sur-Issole à Les Baux-de-Provence

 Vendredi 22 mars 2019

Après avoir fait le grand nettoyage de notre maison-sur-roues ainsi que des provisions au supermarhé, on prend la route direction Les Baux-de-Provence (13520) où nous devons retrouver les GéDal qui ont commencé leur périple depuis quelques jours.

(clic sur les photos pour les agrandir)

Nous arrivons aux Baux-de-Provence vers 16h.

Le village nous l'avons visité en avril 2015 (clic sur le lien :

http://www.macmanouche.com/2015/04/famille-macmanouche-com-30eme-sortie-13-15.html )

On a l'impression de voir un visage humain découpé dans le rocher.

Vers 17h30, c'est l'arrivée des GéDal.

Ensuite, lorsque tous les automobilistes sont partis on va s'installer pour la nuit.

Pour cette nuit, nous aurons des voisins Suisses ... en caravane !

___________________________________________________________________________

Coordonnées de ce parking des Baux-de-Provence : (43° 44’ 59” E 4° 47’ 40”)

____________________________________________________________________________

Les Baux-de-Provence : les ''Carrières de Lumières''

Samedi 23 mars 2019

Ce matin, on va, avec les GéDal et leur petite famille, visiter les ''Carrières de Lumières''.

« Une déambulation dans les plus grands chefs-d’oeuvre de Van Gogh !

Les Carrières de Lumières mettent à l'honneur les œuvres de Vincent van Gogh (1853-1890) qui peignit pendant les 10 dernières années de sa vie plus de 2000 tableaux, aujourd’hui dispersés à travers le monde. Sur les 7000 m² des Carrières, cette nouvelle création visuelle et sonore retrace la vie intense de l’artiste fasciné par les teintes chaudes et colorées de la Provence. »

(clic sur les photos pour les agrandir)

« Les nuages, soleils et portraits des plus grands chefs-d’oeuvre de Van Gogh s’animent sur des murs de plus 15 mètres de haut et révèlent le style si singulier de l’artiste. L’exposition évoque le monde intérieur à la fois démesuré, chaotique et poétique de Van Gogh à travers ses toiles les plus emblématiques, de la Nuit étoilée (1889) aux Tournesols (1888) en passant par sa célèbre Chambre à coucher peinte à Arles en 1889. »

« Des dizaines d'autoportraits de Vincent Van Gogh sont une partie importante de l'ensemble de son œuvre. Vincent Van Gogh a créé de nombreux autoportraits au cours de sa vie. Très probablement, les autoportraits de Van Gogh dépeignent son visage tel qu'il apparaît dans le miroir. »

Suite de la visite dans le prochain article...

SOURCES :

https://www.carrieres-lumieres.com/fr/van-gogh-nuit-etoilee

http://www.autoportraits.net/van-gogh.html

____________________________________________________________________________

A bientôt pour la suite de ce 81ème périple'

______________________________________________________________

«La pauvreté est la source des pathologies dont souffre la société, et que, tant que nous ne tordrons pas le cou à cette engeance, il demeure stérile de croire en une quelconque solution des problèmes sociaux. »

Théorie de Martin Luther dans sa ''Campagne en faveur des déshérités''

______________________________________________________________

V isite de Lorgues (1ère partie)

Lundi ( après-midi ) 11 mars 2019

Repas très agité car vent violent sur ce parking de Lorgues

(clic sur les photos pour les agrandir)

C'est parti pour la visite de Lorgues (83510)

Le cinéma de Lorgues, situé dans la ''Maison des Associations''.

« L’Hôtel de Ville : Situé sur le cours de la République, l’Hôtel de Ville, achevé en 1833, sobre et majestueux, dénote de l’opulence et de l’importance de la ville après la Révolution. »

« Érigée en 2011 sur le parvis de la Mairie, la fontaine des Demoiselles allie avec bonheur tradition et modernité, et symbolise les forces de la Nature : soleil, pluie et vent. »

« D'une grande diversité de conception et d'architecture, les fontaines et lavoirs jalonnent les anciens quartiers de Lorgues. »

«La fontaine de la Bourgade : Installée en 1786 dans le Bas Cours, qui était alors le nom de la rue, la fontaine fut réaménagée en 1903 . Le Bas-Cours fut baptisé avenue Allongue en 1901.»

La rue de la Bourgade et au loin le clocher.

La Font Couverte

Vieilles portes dans la rue de la Bourgade.

«Demeure de la famille de Lassigny , qui l'offrit en 1911 au curé Besson pour en faire le presbytère. »

Depuis la place Perron, vue sur le beffroi communal, ancienne tour dite Tour du Campanile.

« La Collégiale Saint Martin s’impose au regard et s’élance vers le Sud telle la proue d’un navire. La première pierre fut posée en 1704 par Monseigneur Fleury, futur ministre de Louis XV. »

Maisons sur la place de l'église.

La fontaine de la rue de la Trinité

« Fontaine de la Noix (1771) : En y laissant graver leur nom, les trois consuls du XVIIIème siècle l’ont voulue aussi élégante et classique que les fontaines d’Aix-en-Provence. Édifiées pour le plaisir des yeux, cette fontaine aurait le privilège de brouiller la raison à ceux qui s’y abreuveraient. En effet, le 1er jour, il y coula, dit la tradition, des jets de vin ! La colonne, en marbre, est surmontée d’une boule “la noix” à laquelle s’attacherait le surnom collectif des habitants de Lorgues. Les plaques à inscription latine se font l’écho de l’histoire de la cité, notamment l’inscription du levant affirmant les privilèges de la ville franche. Devise “Force et Fidélité” (Classée aux Monuments Historiques). »

« La colonne en marbre de carrare est surmontée d'une boule, la "noix" qui explique le surnom donné par les lorguais. »

« La tour de l’horloge ==>

==> Symbole d’une communauté émancipée de ses seigneurs, surmontée d’un campanile et édifiée en 1623, elle domine la ville du haut de ses 28 mètres. »

==> Le campanile émerge fièrement au-dessus de la foule de toitures. Installée en 1623, sous Louis XIII, la cloche égrène toujours les heures de la cité. Perchés sur la plus haute tour de l’enceinte médiévale, l’horloge et son cadran, sont surmontés d’un campanile cylindrique en fer forgé. Vu de loin, il symbolise l’esprit de la communauté, de ses franchises, de son désir de liberté. »

« L’ancien Palais de Justice (1768) : La façade est ornée d’une belle porte cintrée (photo ci-dessous) surmontée d’un balcon en fer forgé. L’immeuble rassemblait les services du Viguier royal dans ses attributions de police, justice et finances. Lorgues était alors une des vingt-deux vigueries de Provence, ce qui lui conférait cette allure de petite capitale locale. » (Ce bâtiment accueille la Mairie annexe)

La porte cintrée de l'ancien Palais de Justice

La fontaine-lavoir du Tribunal, place Neuve.

«La fontaine-lavoir fut déplacée au moment de la construction du Palais de Justice, ses canons de bronze distribuent l'eau à tout le quartier. La surverse s'écoule dans le bassin-lavoir. »

« Chapelle Saint-François (1633) :Elle fut construite pour abriter la Confrérie des Pénitents Gris, compagnie d’hommes pieux rassemblés dans des pratiques de dévotion et d’entraide jusqu’en 1879. L’intérieur présente un beau mobilier de stalles du XVIIème siècle. On y communique par l’établissement situé derrière, ancien hospice, témoins de la solidarité entre les âges et les classes sociales. »

Vue sur le clocher de la Collégiale depuis la place Saint-François.

« La Porte sarrasine (XII-XIVème siècle) : Lorgues doit ses fortifications aux Templiers de la Commanderie du Ruou. Située au levant, la porte communique avec la route médiévale, itinéraire reliant Brignoles à Grasse et fréquentée par des pèlerins, les marchands et les soldats. L’ouverture, en berceau brisé, est surmontée d’une niche dans laquelle se trouvait une statue de Notre-Dame. Dans le passage public, on repère, intacte, la rainure de la herse (la sarrasine) et les différents mécanismes de fermeture. »

Porte sarrasine intra-muros

« Porte “sarrasine” et non sarrazine. Il s’agit, dans l’art, ou logistique militaire d’un mode de fermeture, avec sa herse et son logement. »

SOURCES :

https://www.lorgues-tourisme.fr/Tourisme/Patrimoine-lorguais

https://www.lorgues-tourisme.fr/upload/files/guide_touristique_lorgues.pdf

http://www.mairiedelorgues.fr/wp-content/uploads/2018/12/pdf_itineraire_pedestre.pdf

http://lorgues.free.fr/coll-fontaines1.html

Dans le prochain article, la suite de la visite de Lorgues...

____________________________________________________________________________

A bientôt pour la suite de ce 80ème périple'

_______________________________________________________________

« - Allô Police ! Je viens d'écraser un poulet. Que dois-je faire ?
- Et bien , plumez-le et faites-le cuire à thermostat 6.
- Ah bon ! Et qu'est-ce que je fais de sa moto ?»

Blague

____________________________________________________________________________

La Garde-Freinet : balade

Vendredi ( après-midi ) 8 mars 2019

Le déjeuner terminé, on part faire une petite randonnée dans les environs de La Garde-Freinet. On se dirige vers la sortie Sud du village par l'avenue de l'esplanade.

(clic sur les photos pour les agrandir)

Juste avant d'emprunter le chemin Saint-Clément, on fait un arrêt devant une chapelle.

«La chapelle Saint-Éloi, petite chapelle située exactement sur le col du Freinet à l’entrée du village, date probablement du XVe siècle. Pendant longtemps son entretien fut assuré par une confrérie composée surtout de gens de la campagne. Car saint Éloi est le protecteur des activités agricoles et plus particulièrement des animaux de trait. ==>

==> Lors de la Révolution, la municipalité s’opposa à sa destruction parce que l’auvent pouvait servir à abriter les voyageurs en cas de mauvais temps, mais, à la veille de la première guerre mondiale, elle demanda sa désaffectation. C’est ainsi qu’elle servit de dortoir à un détachement de prisonniers allemands durant cette période.

Après avoir servi comme permanence d’été au bureau municipal du tourisme entre 1980 et 1995, elle abrite aujourd’hui une exposition de santons de Provence. »

Un peu plus loin, on passe devant la stèle à la mémoire de Saint-Clément.

Jaïka dit bonjour aux ânes.

On passe devant une autre chapelle. « La Chapelle Saint-Clément, aujourd’hui visible, bâtie au XVIIe siècle, en remplacement d’une autre beaucoup plus ancienne. Son origine pourrait correspondre à une fondation privée attachée à un grand domaine de l’Antiquité tardive (traces d’habitat rural antique). ==>

==> Dédiée à saint Clément, pape et martyr du 1er siècle de notre ère, le patron de la paroisse est célébré chaque année début mai pour commémorer la translation des reliques du saint à l’église de La Garde-Freinet. ==>

==> La Chapelle fut restaurée entre 1963 et 1967 par le sculpteur italien Marino DI TEANA qui conçut son projet artistique autour du concept d’un chemin de croix en dalles de verre. »

Cette balade passe le long des vignes , ==>

==> et le long des oliviers.

Jaïka a vu de l'eau, elle attend la permission pour boire !

Que c'est bon de se rafraîchir !

On passe ensuite devant une châtaigneraie.

« En 2001, Nadine Allione et quelques castanéiculteurs du Massif des Maures décident de créer le Syndicat des Producteurs de Châtaignes du Var, installé à Collobrières à La Maison du Châtaignier.

​Ils ont pour ambition de re-dynamiser la filière de la châtaigne locale, démarche unique dans le Var et toujours en œuvre à ce jour. Pour cela, le Syndicat accompagne exclusivement les propriétaires de châtaigniers du Massif des Maures qui souhaitent devenir castanéiculteurs, notamment par la taille et le greffage des arbres.

​Grâce aux cahiers des charges du Syndicat, la traçabilité de la production de châtaignes est assurée. Elle est garantie par la marque collective déposée " Châtaignes et Marrons du Pays des Maures - Producteurs du Var ". »

Petit repos pour Jaïka sur ce matelas de feuilles.

Nous arrivons presque au sommet de la balade où devrait se trouver l''ancien moulin à vent de l'Adrech.

Malheureusement le chemin est barré : propriétés privées !!

Ancien moulin transformé en habitation.

Avant d'attaquer la descente du retour, vue sur la Croix qui domine le village et sur la droite la colline au sommet de laquelle se trouve le Fort Freinet.

Retour au camping-car où nous dégustons un bon goûter.

SOURCES :

https://la-garde-freinet-tourisme.fr/chapelle-saint-eloi/

https://www.esprit-chataignes.fr/copie-de-societe

Ce soir, on dort encore à La Garde-Freinet, ..

___________________________________________________________________________

Coordonnées de ce parking de La Garde-Freinet : (43° 22’ 1” E 6° 13’ 0.2”) 

____________________________________________________________________________

A bientôt pour la suite de ce 80ème périple'

______________________________________________________________

« - Allô Police ! Je viens d'écraser un poulet. Que dois-je faire ?
- Et bien , plumez-le et faites-le cuire à thermostat 6.
- Ah bon ! Et qu'est-ce que je fais de sa moto ?»

Blague

____________________________________________________________________________

___________________________________________________________________________

De Antibes à La Garde-Freinet

Jeudi 7 mars 2019

Pour quelques jours, on s'échappe d'Antibes pour visiter d'autres villages du Var.

Ce soir, on dort à La Garde-Freinet (83680)...

___________________________________________________________________________

Coordonnées de ce parking de La Garde-Freinet : (43° 22’ 1” E 6° 13’ 0.2”) 

______________________________________________________________

Visite de La Garde-Freinet

Vendredi ( matin ) 8 mars 2019

(clic sur les photos pour les agrandir)

« La Mairie : Elle fut construite en 1858 lors de l’expansion bouchonnière. L’endroit figurait au cadastre en 1815 en tant que cimetière, à côté de la Chapelle Saint Jean fortifiée. La Marianne située devant l’entrée de la Mairie date de 1889 (centenaire de la Révolution Française). »

Petites fontaines à proximité de la place de l'Hôtel de Ville.

« L'édifice qu'on appelle aujourd'hui la chapelle Saint-Jean et qui abrite trois organismes (Office de Tourisme, l'Association "les Amis de la Chapelle Saint-Jean" et le Conservatoire du Patrimoine du Freinet), est constitué de deux chapelles distinctes qui ont fusionné, auxquelles furent ajoutés plusieurs corps de bâtiments après la Révolution. Elle fut fondée en 1622 et achevée au début de 1628. La chapelle a été rachetée en 2002 par la commune de la Garde-Freinet pour en faire un espace culturel ouvert au public. »

« Cet espace culturel comprend l'Office de Tourisme et ==>

==> et le Conservatoire du Patrimoine du Freinet un petit musée sur l'archéologie, la châtaigne et le liège. »

Des habitants ''fans'' d'aigles !

Aigle servant de perchoir à un pigeon !

Aigles prenant leur envol !

« La Croix, haute de 6 mètres, l’un des emblèmes du village qui s’étale à ses pieds. »

« Le fort Freinet, un site archéologique classé monument remarquable - habitat fortifié du XIIe au XVIe siècle - dont les vestiges dominent le village et offrent un visuel exceptionnel sur les Maures. »

La colline de la Croix et celle du Fort.

Ancien moulin à huile.

Le Lavoir

«La Fontaine Vieille :  En 1812, le maire Joseph-Jacques AMIC, fit restaurer la fontaine, qui fut longtemps la seule du village. Le nouveau mur-fontaine monumental comporte trois bassins alimentés par des mascarons anthropomorphes. La surverse alimentait une petite auge en grès. Ses dimensions soulignent l’importance des points d’eau à une époque où elle n’arrivait pas dans les foyers. Son utilisation par les habitants était d’ailleurs strictement réglementée et les amendes encourues dissuasives. Il était par exemple interdit d’être trop nombreux en même temps, pour ne pas faire baisser brusquement le niveau des bassins. Les légumes devaient être débarrassés de la terre et des racines pour ne pas troubler l’eau. En aucun cas, il n’était permis d’y laver de la viande, excepté au temps des agneaux et chevreaux où on pouvait laver les tripes, mais en faisant couler l’eau en dehors du bassin. Il était également prohibé de plonger dans les bassins de trop grands récipients (chaudrons, cornues, etc.), excepté en cas de feu. ==>

==> Enfin, dans notre région où ''l’aigo es d’or'', l’accès même à la fontaine publique pouvait être restreint, lors des ''basses eaux''. »

SOURCES :

https://la-garde-freinet-tourisme.fr/le-fort-le-patrimoine-culturel/la-croix/

https://la-garde-freinet-tourisme.fr/balade-village/

https://www.cirkwi.com/fr/point-interet/407281-chapelle-saint-jean

https://la-garde-freinet-tourisme.fr/le-fort-freinet/

Suite de la visite dans le prochain article...

____________________________________________________________________________

A bientôt pour la suite de ce 80ème périple'

______________________________________________________________

« Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.»

Pierre Dac (Humoriste français)

____________________________________________________________________________

De Notre-Dame-Du-Mai à Six-Fours-Les-Plages

4ème jour : Dimanche 24 février 2019

Réveil face à la mer : sublime !

On quitte la Corniche Merveilleuse pour nous rendre à Six-Fours-Les-Plages pour les retrouvailles avec les cousins, Yvette & Robert, que nous n'avions plus vus depuis plusieurs années.

Comme on n'est jamais allés chez eux, on se donne rendez-vous sur le parking d'un supermarché.

Après avoir garé le parking à proximité de chez eux, on va saluer ''mamma Francesca'' qui habite pas très loin d'Yvette et Robert.

Dans l'après-midi, petite balade à pieds autour du Fort de Six-Fours.

On pensait juste passer la fin de matinée et l'après-midi chez les cousins mais ils insistent pour que nous restions car ils veulent nous faire visiter Sanary-sur-Mer et Six-Fours-Les-Plages.

Demain, visite de Sanary...

_____________________________________________________________

Visite de Sanary-sur-Mer

5ème jour : Lundi ( matin ) 25 février 2019

Comme décidé hier soir, aujourd'hui, visite de Sanary-sur-Mer (83110), commune limitrophe de Six-Fours-Les-Plages

(clic sur les photos pour les agrandir)

« Le port de Plaisance de Sanary est niché au cœur de la ville. C'est un port provençal typique comme il n'en existe plus beaucoup sur la côte varoise. »

« Le port abrite une petite flottille de pointus provençaux que les pêcheurs utilisent pour pratiquer le "petit métier". Ils vendent le produit de leur pêche tous les jours sur le quai dès le retour au port. »

« Le pointu est une famille de barques de pêche traditionnelles de la mer Méditerranée, traditionnellement à voile et rames puis équipés de moteurs Baudouin. ==>

==> Les pointus se caractérisent par une marque de proue colorée très caractéristique appelée ''capian''. »

Sur le quai Charles de Gaulle, kiosque à musique, construit au XIXe siècle. De forme octogonale, il est formé de 8 colonnes soutenant le toit.

La mairie

L'horloge située sur le fronton de la mairie...elle date de 1890.

« La tour carrée appelée aussi Tour romane, a été érigée vers 1300. Elle mesure 21 mètres de hauteur.

Au départ, elle servait de tour de guet et était entourée d'un fossé de défense afin de protéger la garnison et surtout les armements. Vers 1507, des maisons sont construites à proximité et la tour cessera peu à peu de fonctionner comme tour de guet au cours du siècle.

On l'utilisera ensuite comme une prison, puis un grenier pour les provisions et le fossé sera définitivement comblé au début du XVIIIe siècle.

Au dernier étage se trouve encore l'ancien pigeonnier.

Elle accueille depuis 1994 le Musée Frédéric-Dumas, consacré à l'archéologie sous-marine et à l'histoire des équipements de plongée sous-marine. »

«La fontaine de l'agriculture, c'est son nom a été érigée en hommage à l'agriculture, car malgré les apparences, et la proximité de la mer, Sanary a toujours été un pôle important pour l'agriculture dans l'arrière-pays. »

« En 1570, devant l’accroissement de la population, les habitants de Sanary décident de construire leur église sur l’emplacement du prieuré des moines de Saint Victor et la dédient à saint Nazaire.

C’est en 1890 que Marius Michel Pacha, l’emblématique maire de Sanary, décida d’offrir une nouvelle église à son village natal, sur ses deniers personnels, en lieu et place de l’église provençale du XVIè siècle. ==>

==> La première pierre est posée le 27 avril 1891 et la nouvelle église bénite le 31 juillet de l’année suivante. Il s’agit d’un bâtiment d’inspiration néo-byzantine, à plan en croix latine, ornée depuis 2009 de fresques de style orthodoxe de l’artiste Jean-Baptiste Garrigou. »

Petite fontaine.

Le théâtre Galli

« Ancienne célébrité du cinéma muet puis curé de la paroisse, Georges Galli éleva la ''Cité de la Jeunesse'' devenue aujourd’hui théâtre municipal de Sanary-sur-Mer. ==>

==> Les lignes élégantes de ce bâtiment servent de toile de fond aux sculptures de Nathalie Bicais. Selon ses propres termes, l’artiste ''donne vie à des récits qui hantent son imaginaire''…» 

Le bassin devant le théâtre avec ==>

==> avec la statue en bronze ''Shana vierge noire'' de l'artiste, Nathalie Bicais,

« En 1996, le lavoir alimenté par le vallat Daumas n’est plus guère utilisé. Une nouvelle vie lui est donnée par la municipalité qui décide de le restaurer et de le mettre en valeur dans les jardins Jean-Cavet, du nom du président du comité local de la Résistance et premier maire de la Libération. »

La tourelle de plongée COMEX

« Bi-sphère, sa forme lui permet de plonger à 450 m, profondeur maximal.

Utilisée comme un ascenseur elle permet aux plongeurs en saturation de sortir du caisson de repos placé sur le bateau-support pour rejoindre leur profondeur de travail. Elle dispose de deux bras de manipulation, de deux moteurs d’orientation et d’un hublot d’observation de grand diamètre. Son volume est de 4,5 m3 et sa masse est de 3815 kg. Conçue par les Constructions métalliques de Provence, à Arles, elle a été mise en service en 1974. Offerte par la Comex, elle témoigne de l’évolution des techniques d’exploration du milieu sous-marin et enrichit le patrimoine de Sanary, ''cité historique de la plongée autonome''. »

« La rivière ou plus exactement le fleuve La Reppe qui prend sa source au Nord du Beausset et termine sa course entre Six-Fours et Sanary. »

« La plage de Bonnegrâce : grande plage de gravillons, la plus grande de Six Fours. Elle mesure environ 1.2km et est située le long de la promenade Charles de Gaulle. »

Merci à Yvette et Robert pour cette belle promenade-découverte !

(SOURCES :

https://www.sanary-tourisme.com/sanary-comptoir-culturel/les-lieux-remarquables.html?tx_dklikapidae_pi1_uid=4686521

http://www.odyssea.eu/data/?markerID=4523&lang=fr#googtrans(|fr)

http://www.bulledemanou.com/2017/04/petite-balade-dans-les-rues-de-sanary/balade-dans-le-var.html

http://petitpatrimoine.overblog.com/le-th%C3%A9%C3%A2tre-galli-%C3%A0-sanary

http://leblogdetoinon13.canalblog.com/archives/2015/01/07/31268054.html

https://www.sanary-tourisme.com/escale-culture.html

A cet après-midi, pour une autre balade découverte...

____________________________________________________________________________

A bientôt pour la suite de ce 79ème périple'

______________________________________________________________

« Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.»

Pierre Dac (Humoriste français)

____________________________________________________________________________

___________________________________________________________________________