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Suite de la visite de Saint-jean-de-Côle

Vendredi   11    juin  2021

Nous dirigeons vers l’abbaye qui, malheureusement, ne se visite pas.

A travers le feuillage, vue sur le cloître et le clocher de l’église.

Le prieuré avec son cloître, du XIIème siècle, dominé par le clocher.

L'évêque de Périgueux, Raynaud de Thiviers, favorise la création du Prieuré, avant de partir en croisade en 1101.

Le Prieuré abrite 16 chanoines réguliers résidents de la Règle de Saint Augustin.

De plus, il abritait des religieux chargés de paroisses ou de prieurés satellites.

Il paraît avoir été assez largement doté de biens ecclésiastiques.

Saint-Jean-de-Côle doit sa renommée au prieuré.

Saint-Jean-de-Côle, petit bourg, n'est fait que de petites ruelles étroites qui en fait tout son charme.

Un peu d’humour au cours de la visite.

Dans ces ruelles, on y trouve de belles maisons.

Village très fleuri.

Vélo porte-pot de fleurs !

Ruelle étroite avec caniveau central pour l’évacuation des eaux pluviales…

Maison à colombages.

Dans la rue du Fond du Bourg, de belles maisons aux murs ocres ou à colombages.

Cette maison à colombages abrite la galerie de La Dame Blanche. (Fermée lors de notre passage)

Vieille maison ou ancien corps de ferme dans la rue du Vieux Puits

Le vieux puits a été restauré !

On revient par la rue du Fond du Bourg pour continuer la visite...

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A bientôt pour la suite de ce 96ème périple

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Visite de Brantôme (avant-dernière partie)

Jeudi    10    juin  2021

Avant de visiter le centre-ville de Brantôme, depuis le pont Porte-Rivière, dernier coup d’oeil sur le pont coudé , le pavillon Renaissance et la tour Saint-Roch.

« Mélodie », la contrebasse réalisée par le sculpteur Olivier XIX (#olivierdixneuf) est installée sur le belvédère du pont Porte-Rivière.

Maison avec fenêtre à meneaux

Maison du XVIè  au  N°2 de la rue Veuve Rigaudie

Maison du XVIè  au  N°3 de la rue Veuve Rigaudie

Maison dite « des Marchands vénitiens »

Maison des Dames de la Foi

Le niveau des différentes crues de la Dronne au niveau de la maison des Dames de la Foi. La plus haute en février 1783.

La passerelle dite Eiffel et la maison des Dames de la Foi.

La passerelle Eiffel a été réalisée en 1895 par Jean Borie, artisan forgeron local, sur les conseils des Ateliers Eiffel, elle repose sur deux piliers en pierre, elle passe sur la rivière la Dronne.

Cette passerelle a remplacé le gué des Peyrats (nom des grosses pierres qui permettaient le passage)..

Ancien hospice civil et militaire.

Façade de l’hospice

Belle lucarne

Encadrement de porte du XVI siècle

Maison avec échauguette

Au 43 de la rue Gambetta (ancienne rue royale), cette demeure est un témoin du XIIè siècle brantômais, encore que ses grandes baies aient été redessinées au XVIè siècle, avec meneaux et traverses, linteaux en accolade dotés d’un écu dans la pointe.

Nous voici revenus sur la place Saint-Pierre, dernière partie de la visite de Brantôme…

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A bientôt pour la suite de ce 96ème périple

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Dernière partie de la visite de Beaulieu-sur-Dordogne

Mercredi    9    juin  2021

Sur la place du Monturuc (montoir où l’on attachait les chevaux) l’ancienne église (et son clocher-pignon)  Notre-Dame-du-Port-Haut domine sur son rocher.

Détruite en partie pendant la Guerre de Cent Ans puis restaurée, elle devint « Chapelle des Pénitents » après son rachat vers 1820 par la Confrérie des Pénitents Bleus.

C’était ici l’ancien village de Vellinus, peuplé à l’origine de pêcheurs et vignerons.

Autrefois  faubourg pauvre, les Quais de la Dordogne sont devenus un quartier résidentiel prisé des touristes.

La promenade en suivant la rive permet d’admirer le chevet de la chapelle, de pur style roman limousin, et conduit à la passerelle d’où la vue sur le village étiré le long des quais est particulièrement belle au soleil couchant.

Depuis l’ancien port de Beaulieu-sur-Dordogne, un important trafic commercial passait sur la Dordogne au XIXe siècle.

Les gabares, embarcations à fond plat, transportait depuis Argentat jusqu’à Libourne du bois destinés à fabriquer des tonneaux ou comme support de la vigne.

La gabare, Adèle et Clarisse, de type « courau » (qui circulait entre Souillac et Bergerac) servait à remonter la Dordogne grâce à un chemin de halage.

Son nom vient des deux dernières « passeuses de bac » qui faisaient traverser la Dordogne jusqu’en 1970 à la construction de la passerelle.

L’actuelle gabare transporte les touristes pour leur permettre de découvrir l’histoire des gabares.

Repos, à l'ombre, bien mérité !

La chapelle des pénitents fut construite au XIIe siècle au bord de la Dordogne pour accueillir les moines et les pèlerins.

Elle possède un clocher-mur. Durant l’été, elle sert de salle d’expositions temporaire. Elle est construite sur un promontoire pour éviter les inondations pendant les crues de la Dordogne.

Depuis la passerelle, le bouillon de la Dordogne !

Sculpture au bord de la Dordogne.

Le panneau ne correspond pas à cette maison à l’abandon !

Retour à l’aire des camping-cars pour la poursuite du périple, direction Brantôme pour la halte de la nuit

Malheureusement, pas moyen de stationner à Brantôme, alors on file jusqu’à l’aire (gratuite) de Saint-Front-La-Rivière, à environ 30 minutes.

Ce sera la halte de la nuit.

Demain, on essaiera de visiter Brantôme…

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A bientôt pour la suite de ce 96ème périple

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Suite visite de Beaulieu-sur-Dordogne

Mercredi    9    juin  2021

Les ruelles et les maisons à colombages.

Maisons à colombages et encorbellement, base du XIVème et modifiées plus tard.

Beaulieu-sur-Dordogne   offre des trésors d’architecture que l’on découvre en se promenant dans un dédale de ruelles étroites.

Maison dans la rue Zimbazane

Maison à encorbellement qui permet de gagner de la place à l’étage sans empiéter au sol.

Détail de la porte

Maison avec tourelle ronde

La place du marché avec l’église abbatiale Saint-Pierre

Sur la place du marché, maisons à encorbellement qui permet de gagner de la place à l’étage sans empiéter au sol

Sur la place du marché, magasin d'antiquités

Toujours sur la place du marché, la boulangerie-pâtisserie

Maison à encorbellement qui abrite une boutique sur la place du marché.

Le clocher-donjon qui domine l’abbatiale.

L'abbaye bénédictine a été fondée au IXè siècle par Rodolphe de Turenne, Archevêque de Bourges. Il y installa des moines de Solignac. C'est au début du XIIe siècle, que la communauté fut affiliée à l'ordre de Cluny. C'est un édifice aux proportions majestueuses, de style roman Limousin, en grès ocre pâle, construit selon les plans d'une grande église monastique de pèlerinage.

Cette abbatiale est surtout connue pour son remarquable tympan sculpté du début du XIIe siècle représentant le retour du Christ à la fin des temps 'la Parousie' avec, au centre, un Christ en majesté.

Ce tympan fut sculpté par des tailleurs d'images toulousains

Repos bien mérité ou prière ?

Fin de la visite de l’abbatiale, et on ressort pour la suite de la visite de Beaulieu-sur-Dordogne...

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A bientôt pour la suite de ce 96ème périple

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Fin de la visite de Laroquebrou

Mardi   8  juin  2021

Depuis le rocher de la Vierge, vue sur l’église de Laroquebrou

L’église trône au centre du village.

Il s'agit d'une église gothique à l'allure "modeste" qui a été  construite à la fin du 14e siècle.

Toujours depuis le rocher de la Vierge, vue sur Laroquebrou, l’église et le pont sur la Cère.

L' église est classée MH par arrêté du 22 septembre 1914

L'entrée donne sur une petite place qui offre assez de recul pour admirer le puissant clocher.

Gros plan sur le clocher.

Sur le bas côté de l'église, des niches en ogives.

Elle s'organise autour d'une nef de quatre travées agrémentée de chapelles au nord et au sud.

Cadran solaire sur le côté de l'église

La place de l’église avec sa fontaine, des maisons à pans de bois et, au loin, le rocher de la Vierge et le château

La fontaine de la place de l’église

Fontaine à l’angle de la rue Damont et de la rue Étienne Fargues,  proche de l’hospice

L’ancien hospice qui remonte à l’An 1300.

Aujourd’hui, le bâtiment rénové accueille des expositions, la médiathèque et une poterie associative.

L’hospice conserve deux superbes portes en ogives

Celle de gauche, identifiée par une croix  tréflée, s’ouvrait sur la chapelle voûtée.

Celle de droite, surplombée d’un médaillon de pierre (voir photo ci-dessous), donnait accès à l’hospice

Le médaillon

Sur la partie arrière de l’hospice, la bibliothèque.

Le jardin municipal,  et le pont sur la Cère.

Reflets sur la Cère.

Pont du XIIIème siècle qui enjambe la rivière Cère.

Autrefois, on naviguait en gabare sur la Cère, avant de rejoindre la Dordogne.

Proche du pont, une ancien commerce fermé (mais pas à cause du Covid)

Sculpture à l’entrée du pont, côté centre ville.

La rivière Cère vue depuis le milieu du pont

La fontaine du pont, très fleurie.

Dernière photo de la mairie et du Château de Laroquebrou.

On dort à Laroquebrou  , et demain, direction Beaulieu-sur-Dordogne.

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A bientôt pour la suite de ce 96ème périple

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