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Visite de Saint-Antoine l'Abbaye (3/4)

Mardi 19 novembre 2019

Nous voici revenus dans la Grande Cour.

Nous nous dirigeons vers l'ancienne ''Porte du Grand Cloître'', aujourd'hui disparue.

Toilettes publiques, Recto – Verso !

Nous avons quitté la Grande Cour, pour arriver sur le parvis de l'église.

Le portail principal de l'abbatiale est démesuré et autour du tympan de nombreuses et fines sculptures.

« Construit au XVe siècle et renforcé au XVIIIe siècle, ''le Gros Mur'' soutien le terre-plein sur lequel repose l’église et le parvis. Il assure à la fois une fonction défensive (rempart) et une fonction urbanistique (soutènement). Il subsiste quelques pans de mur de l’enceinte d’environ 350 mètres érigée au XIVe siècle. »

«Au bout du parvis, un portail monumental permettait d’accéder directement à la Maison abbatiale et son jardin. ==>

==> Le volume du bâtiment donne une idée de la puissance des abbés de l’Ordre. »

On revient sur nos pas : le jardin est fermé !

« L'église abbatiale, complètement démesurée comparée à la taille du village. On se sent vraiment tout petit devant l'entrée principale. »

La Porte du Gros Mur ==>

==> qui permet de rejoindre le village.

Nous sommes sortis de l'enceinte et on peut admirer l'autre face de la Porte du Gros Mur et au fond le haut du portail donnant accès au jardin de la maison abbatiale.

L'escalier arrive au bout de la Grande Rue.

« La porte de Lyon :

Huit des neuf portes fortifiées qui servaient de péage ont été détruites pendant les Guerres de Religion. Seule subsiste la porte de Lyon, sous le Gros Mur. »

La ''Maison de la cure'' au bas de l'escalier.

La fin de la visite de Saint-Antoine l'Abbaye dans le blog à venir...

SOURCE :

http://tourisme.saintmarcellin-vercors-isere.fr/fr-2/saint-antoine-labbaye/labbaye-son-eglise-et-le-tresor/

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A bientôt pour la suite de ce 89ème périple'

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«Le rire et le sommeil sont les meilleurs remèdes du monde.»

Proverbe irlandais

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Tonnerre (1/2)

Mardi 24 septembre 2019

Nous quittons les bords du canal de Bourgogne pour aller stationner sur le parking de la Place de la Gare.

Depuis le parking, on aperçoit l'église Saint-Pierre qui ==>

==> qui domine la ville de Tonnerre.

Avant de grimper jusqu'à l'église, on s'arrête devant ce grand bassin.

« La Fosse Dionne, avec son lavoir, fait l'objet de bien des curiosités. »

« Après avoir longtemps servi à l'approvisionnement en eau des environs, la source de la Fosse Dionne fut aménagée en lavoir en 1758, à l'initiative de Louis d'Eon (père ou grand-père du Chevalier d'Eon), avec la toiture semi circulaire qui lui confère l'aspect que nous connaissons aujourd'hui. Elle devint dès lors le domaine des lavandières de Tonnerre. »

« Son nom même indique cette supposée origine divine : Dionne étant tiré de Divona, divinités gauloises des gouffres et des sources. »

« Sa couleur bleu intense comme sa profondeur insondable, jusqu’à très récemment, a longtemps laissé penser aux habitants tonnerrois que sa création était d’origine céleste ou diabolique. »

« La Fosse est capable de recracher plus de 300 litres d’eau par seconde ! »

On va monter s'installer sous ce préau pour avoir une meilleure vue sur la Fosse.

« De nombreuses recherches ont été faites pour comprendre la provenance de ses eaux. La Fosse Dionne est une source vauclusienne issue d'une nappe située à 43 km au sud de la ville. Elle est en rapport avec d'importantes fissures du sol et l'abondance de son débit, qui augmente très rapidement à la suite d'une forte pluviosité, paraît liée au voisinage du plateau calcaire du Tonnerrois. »

« Bien qu’elle soit interdite d’accès depuis des années, un plongeur a pourtant obtenu le droit de l’explorer à nouveau ! »

« Juste une galerie truffée de cavités, siphons et étranglements, atteignant 61 mètres de profondeur, a été mise en évidence sur une longueur de 360 mètres. »

Nous avons laissé la Fosse et nous avons grimpé jusqu'à l'église Saint-Pierre , malheureusement fermée pour cause de travaux !

« A l'origine chapelle du château, cette église collégiale des XIVè et XVIè siècles surplombe la ville de Tonnerre. »

Vue imprenable sur la cité

Superbe panorama !

On aperçoit le toit de l'Hôtel-Dieu ==>

==> ainsi que le clocher de l'église Notre-Dame.

Nous arrivons dans la rue Vaucorbe où se trouve cette maison à pans de bois.

Un peu plus loin, une vieille bâtisse qui a abrité divers commerces au fil des ans !

« Cet édifice a vécu de nombreuses péripéties qui ont marqué ses façades. L'église a été brûlée par les Anglais en 1359, par les Bourguignons en 1414, puis par l'incendie de 1556 et elle a subit des bombardements durant la dernière guerre. ==>

== > Sa reconstruction est de style gothique. »

Publicité murale dans la rue de l'Hôpital.

SOURCES :

Documentation fournie par l'Office de Tourisme de Tonnerre.

https://sciencepost.fr/dans-la-ville-de-tonnerre-une-mysterieuse-fosse-recrache-des-centaines-de-litres-deau-par-seconde/

https://positivr.fr/fosse-dionne-tonnerre-exploration/

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A bientôt pour la suite de ce 88ème périple'

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«Le sourire est le le même dans toutes les langues..»

Proverbe Mexicain

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De Neussargues-en-Pinatelle à Murat

Mardi 25 juin 2019

Ce matin, on laisse Neussargues-en-Pinatelle pour filer jusqu'à Murat (15300) à une dizaine de kilomètres.

On se gare à proximité de la gare et ensuite visite du vieux Murat.

La ville de Murat est dominée par le rocher de Bonnevie au sommet duquel trône la statue de Notre Dame de Haute Auvergne.

Maison dite ''consulaire''

« L’imposant et austère bâtiment de la Caisse d’Épargne construit en pierres de taille d'origine volcanique. »

« Encadrant la fenêtre principale, les fameuses citations ! »

Le bâtiment date de 1907

« Couvent de Dominicains construit de 1771 à 1780, transformé en tribunal au 19e siècle. »

Ancienne échoppe.

Quelques belles et vielles portes vues sur le parcours.

Ainsi que des fenêtres !

« Superbe maison historique avec son WC en façade ! »

Surplombant la ville, le rocher de Bonnevie avec la statue Notre Dame de Haute Auvergne.

« L'église Notre-Dame-des Oliviers qui date des 13ème et 14ème siècles. »

« Le clocher-tour de plan carré, servant de porche, avec tourelle d’escalier et couvert d’une toiture surmontée d’un lanternon. »

Petite statuette de la Vierge sur la façade du clocher.

« A proximité de l'église, une surprenante construction à charpente métallique du 19ème siècle : la Halle qui abrite aujourd'hui le marché de la ville. Elle est inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques comme témoin de l'architecture de cette époque. »
 

Suite de la visite de Murat dans le prochain article...
 

SOURCES :

http://stephane0369.over-blog.com/search/murat/

http://www.par-monts-et-par-vaux.eu/page89.html

http://www.par-monts-et-par-vaux.eu/page90.html

https://www.sauvegardeartfrancais.fr/projets/murat-eglise-notre-dame-des-oliviers/

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A bientôt pour la suite de ce 85ème périple'

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« Ça fout les glandes que des gens soient obligés de faire les poubelles pour se nourrir !»

Coluche

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Visite de Saint-Jean-de-Luz

Jeudi 16 mai 2019

Nuit tranquille malgré la route.

La baie de Socoa à notre réveil !

L'entrée du port de Saint-Jean-de-Luz.

Le port

L'entrée du port et les maisons situées sur le quai de l'Infante.

Le port de plaisance de Saint-Jean-de-Luz/Ciboure

Un bateau de promenade en mer quitte le port.

« Le phare amont, sur la commune de Ciboure

De style néo labourdin, il fût rehausser en 1936 par l'architecte André Pavlovski. Il fonctionne avec le feu situé à Saint jean de Luz. »

Le port et les belles demeures sur le quai de l'Infante

panoramas du port

Le bout du quai de l'Infante

L'église Saint-Jean-Baptiste

« Les parties les plus anciennes, comme le clocher porche et quelques fenêtres donnant sur la rue Gambetta datent du XVè siècle. »

Passage sous le clocher-porche.

L'entrée principale de l'église.

« À l'intérieur de cette église, trois étages de galeries de chêne encadrent la nef unique que couvre une remarquable voûte en carène lambrissée. Le chœur très surélevé porte un retable du 17è siècle resplendissant d'or. Entre les colonnes et les entablements qui l'ordonnent en trois registres, des niches abritent une foule de statues. C'est dans cette église que se marièrent Louis XIV et Marie-Thérèse, le 9 juin 1660.»

« Assez atypique, une maquette de bateau orne le plafond. Elle est suspendue là pour témoigner de l'histoire maritime de la région. »

« Le 27 novembre 1706, la foudre tomba sur la flèche pointue du clocher ; la couverture de plomb fondait, la charpente commençait à brûler. On sauva les cloches en les entourant de voiles de bateaux mouillées. La flèche du clocher sera remplacée par un petit toit plat, de tuiles, construction provisoire… qui dure encore. »

Une autre église, l'église Saint-Vincent sur la commune de Ciboure, commune limitrophe de Saint-Jean-de-Luz : les deux villes formant la même agglomération.

Les 3 étages de galeries et le magnifique orgue.

Suite de la visite dans le prochain blog

SOURCES :

https://www.cityzeum.com/eglise-saint-jean-baptiste-10

https://www.saint-jean-de-luz.com/fr/18303-/

https://voyages.michelin.fr/europe/france/aquitaine/pyrenees-atlantiques/saint-jean-de-luz/eglise-saint-jean-baptiste

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Jean-Baptiste_de_Saint-Jean-de-Luz

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A bientôt pour la suite de ce 84ème périple

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« La culture c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale. »

ou

« La culture c'est surtout comme un parachute : quand on n'en a pas, on s'écrase... »  

ou

« Le cerveau, comme le parachute, doit être ouvert pour fonctionner... »

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Visite de Cluny

7ème jour ( après-midi ) : Dimanche ( après-midi ) 20 janvier 2019

Après le repas, on part à la découverte de Cluny

(clic sur les photos pour les agrandir)

«Guillaume le Pieux fonde l'abbaye en 910, directement placée sous la protection de Rome.Son abbé jouit d'un rôle de médiateur entre les pouvoirs politiques et le pape. Cluny est la maison mère de 1400 dépendances. Vendue comme bien national en 1798, l'abbaye est démantelée, et son église, presque détruite.»

« La grosse Tour du Moulin, au sud-est, était le moulin à blé du farinier de l’abbaye. Elle date de la fin du 12e siècle. »

« (...)Les fenêtres souvent
Traitent impunément
De voyous des enfants
Qui cherchent qui aimer
Les fenêtres souvent
Soupçonnent ces manants
Qui dorment sur les bancs
Et parlent l'étranger

Les fenêtres souvent
Se ferment en riant
Se ferment en criant
Quand on y va chanter
Ah je n'ose pas penser
Qu'elles servent à voiler
Plus qu'à laisser entrer
La lumière de l'été

Non je préfère penser
Qu'une fenêtre fermée
Ça ne sert qu'à aider
Les amants à s'aimer »

Extrait de ''Les Fenêtres'' paroles par Jacques Brel 

« Des tours de l’enceinte, la plus ancienne est la Tour des Fromages, du côté de la ville et de l’église Notre-Dame. »

« La tour remonte en partie au début du 11e siècle et faisait déjà partie de l’enceinte de l’abbaye de Cluny II. »

« Les petites baies des étages inférieurs remontent à cette époque. Les parties hautes datent des 12e et 13e siècles et donnent une belle vue sur l’abbaye. »

« Église paroissiale majeure de la ville, l’église Notre-Dame (XIIIè siècle) est un bel édifice gothique (...) »

« (...) le grand porche, qui débordait sur la place, a été détruit un peu avant la Révolution. »

« Façade à baies trilobées sur la Place Notre-Dame. »

« Façade à baies rectangulaires avec colonnettes, pilastres décorés et chapiteaux à dragons et oiseaux. »

(SOURCES :

http://www.bourgogneromane.com/edifices/cluny.htm)

http://www.cluny-tourisme.com/Eglise-Notre-Dame-756.html?lang=fr&id_article=453)

Suite de la visite dans le prochain article...

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A bientôt pour la suite de ce 78ème périple

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«Le meilleur moyen de tenir sa parole est de ne jamais la donner.»

Napoléon Bonaparte

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