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Randonnée à la cascade de Saint-Même

Jeudi 24 septembre 2020

Ce matin, le temps n'est pas au beau fixe, mais il ne pleut pas … pour le moment !

Alors nous attaquons la rando-boucle (environ 4 à 5km)de la cascade de Saint-Même.

Nous avons commencé à grimper et déjà on aperçoit la cascade.

Le sentier est pentu et très caillouteux !

Zoom sur la cascade.

A travers les arbres, les Rochers de Fouda Blanc dans le brouillard.

Le brouillard se dissipe et on distingue mieux les Rochers de Fouda Blanc.

Et ça grimpe toujours !

Nous arrivons enfin à la cascade de Saint-Même.

La cascade et au-dessus le cirque de Saint-Même.

On continue la balade pour redescendre vers le camping-car .

Le pont qui va nous permettre de traverser la rivière Guiers Vif.

Après avoir traversé le pont, vue sur la cascade !

Cascade et cirque de Saint-Même.

La même vue, photographiée différemment.

La cascade vue de plus bas et le Guiers Vif .

Le brouillard arrive ainsi qu'une petite pluie fine, alors on met les kway et on accélère le retour.

Nous sommes dans la forêt ce qui nous protège un peu de la pluie.

En observant bien ce rocher et avec un peu d'imagination, on a l'impression de voir la tête d'un animal, ornée de cornes !

Le brouillard arrive dans la vallée mais la pluie s'est arrêtée !

La boucle se termine, nous voici revenus à notre point départ sans avoir été trempés.

Nous regagnons le camping-car et en route pour l'étape du soir.

Sur la route nous prenons un gros orage.

Nous faisons la halte du soir à Laragne-Montéglin (05300) et nous serons en compagnie de forains venus pour la fête votive !

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Coordonnées de l'aire de Laragne-Montéglin: (44° 18’ 44.2” E 5° 49’ 31.5” ) S.G.

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De Laragne-Montéglin à Roquebrune-sur-Argens

Vendredi 25 septembre 2020

Fin de ce 94ème périple.

Nous quittons Laragne-Montéglin direction Flassans-sur-Issole où nous ferons les vidanges avant de laisser notre-maison-sur-roues au gardiennage de Roquebrune-sur-Argens.

Ensuite, en voiture, nous irons nous installer à Antibes pour plusieurs jours ...

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A bientôt , peut-être , pour un autre périple

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«Le rire et le sommeil sont les meilleurs remèdes du monde..»

Proverbe irlandais

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Cascade du Saut

Mardi 6 août 2019

Aujourd'hui, les cousins Mario et Marina nous emmènent faire une petite randonnée à la cascade du Saut, à Certosia di Pesio.

Mario gare la voiture sur le parking (payant) du refuge ''Pian delle Gorre''.

C'est le point de départ de toutes les excursions pour les Marguareis et les cascades.

La zone du refuge Pian delle Gorre est également un lieu agréable pour les pique-niques. A proximité du refuge, une zone équipée de quelques tables (payantes!!!) pour pique-niquer.

Après avoir passé de petits ruisseaux nous rencontrons une belle petite cascade.

Le pont de bois qui traverse le torrent du Saut.

Le torrent du Saut vu depuis le pont de bois.

Le chemin devient raide mais nous sommes sous la fraîcheur des arbres.

Nous avons bien grimpé, on aperçoit, au-dessous de nous, le pont de bois.

On approche de la cascade.

Mario a pris de l'avance sur nous, il est déjà au pied de la cascade.

Belle cascade, mais peu d'eau à cause de la canicule.

L'eau est très claire.

Le sentier traverse le torrent. Itinéraire pas particulièrement difficile, mais très beau, frais et caractéristique et qui va nous faire rejoindre le pont de bois.

On prend la direction de la cascade du Saut

La cascade du Saut est une belle cascade située à Val Pesio, dans le parc naturel de Marguareis et juste au-dessus du Pian delle Gorre.

La première cascade et celle du Saut, sont deux cascades distinctes : l’une avec un faible débit d’eau, l’autre, nettement plus grande et formée par les eaux descendant du Marguareis et qui, avec les autres affluents et cascades, donnent vie au fleuve Pesio.

Photo de famille Marina, Marie-Claude et Mario.

Une dernière photo de la cascade avant de prendre le chemin du retour vers le parking.

Un papillon

Fleurs vues en chemin

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A bientôt pour la suite de ce 87ème périple'

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« De la discussion jaillit la lumière.»

Proverbe indien

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Excursion en bateau au Saut du Doubs (trajet retour) puis direction Frahier-et-Chatebier

Périple du 2 mai  2018 au  22 mai  2018

16ème jour (deuxième partie) : Jeudi 17 mai 2018

La balade au Saut du Doubs n'est pas terminée. Nous allons monter au belvédère du Haut, toujours côté suisse.

(clic sur les photos pour les agrandir)

En revenant sur nos pas, on emprunte, à gauche, pour aller au belvédère, un sentier très pentu duquel on aperçoit, à travers les branches,  le ''Saut du Doubs''.

Des spectateurs se trouvent sur le belvédère du Bas.

Le Doubs : le torrent puis ==>

==> puis la ''cassure'' du Saut du Doubs.

L'heure tourne, il faut penser à revenir à l'embarcadère pour ne pas rater la navette.

On repasse la frontière, toujours sans contrôle !

Le pont qui relie les 2 pays !

La vedette suisse va accoster pour embarquer les passagers.

Passagers embarqués, la vedette prend le chemin du retour.

Détail du fronton de ce chalet suisse.

Nous venons d'embarquer pour le trajet retour.

La forêt suisse.

Cavités déjà vues au trajet aller !

Le ''Bassin du Doubs''.

Des trous, des trous, comme dans le gruyère !

Avec un peu d'imagination, on pourrait y voir des visages !

Tête humaine : sculpture naturelle dans le rocher (côté français) !

Les falaise françaises.

Les falaises suisses.

Cabanes de pêcheurs, en Suisse.

Le gardien de la grotte !

La marque rouge sur le rocher indique la crue de 1882 : 4m au-dessus du niveau actuel du Doubs !!!

On sort du Bassin du Doubs pour arriver dans la partie du Doubs appelée le ''Lac de Chaillexon''.

La vedette suisse qui se dirige vers le Saut du Doubs.

Le perchoir de la mouette, sauf en cas de crue !

Le rocher qui rendit célèbre l’Abbé SIMON dit « l’abbé volant » - (1913 – 2000) :

« Le 15 Aout 1944 l’Abbé SIMON est nommé curé à Saône (Doubs). Confronté à la pauvreté des mal logés, il cherche de l'argent à tout prix. C'est ainsi qu'il décide de plonger, sans avoir appris, sans préparation.

Il plonge à Villers-le-Lac, du haut d'une tour en bois, au-dessus d'un rocher de 20 mètres. Puis il entreprend alors la série des 110 plongeons de 35 mètres, 42 mètres, ce qui lui permet de réparer son église, de soulager la misère, de donner aux enfants de la paroisse des vacances à la mer. »

La douane suisse et départ des vedettes suisses pour le Saut du Doubs.

L'hôtel ''Les Cygnes''.

Au loin, un village suisse.

Toujours en Suisse, clocher d'une église.

Côté français, 2 fermes typiques du Haut-Doubs.

« La ferme du Haut-Doubs est très "ramassée" sur elle-même. On dit qu'elle est "monobloc" en raison de la dureté du climat. L'étable est contigüe à la partie habitation, ceci pour réchauffer l'habitation et aussi pour éviter des allées et venues à l'extérieur durant les longs hivers pour aller nourrir les bêtes.
La grange, à l'étage, est très grande car elle doit pouvoir contenir du fourrage pour tout l'hiver qui peut durer 6 mois.

Le toit, immense, descend près du sol, afin de mieux supporter le poids de la neige.

Le rez-de-chaussée est en pierre, recouvert sur les faces les plus exposées aux intempéries de tavaillon. Il s'agit de petites planchettes d'épicéa, disposées comme des tuiles sur les façades et parfois le toit. Tout le reste de la ferme est en bois.
L'immense cheminée, appelée tuhé ou tuyé (prononciation : tué) est l'élément caractéristique des fermes comtoises. Elle surplombe la pièce principale de la ferme qui porte le même nom. Les autres pièces sont disposées tout autour. Les ouvertures sont petites et rares, afin de conserver un maximum de chaleur à l'intérieur. »

Cette belle et agréable excursion au Saut du Doubs touche à sa fin, nous arrivons à Villers-le-Lac.

Une fois débarqués, on quitte Villers-le-Lac vers le Nord, en direction de Belfort, où samedi on doit retrouver les GéDal.

Il nous faut trouver une aire pour la halte de la nuit.

Après deux aires inaccessibles pour notre camping-car, on opte pour l'aire naturelle de Frahier-et-Chatebier (70400).

L'aire se trouve au bord du canal de la Haute-Saône, canal désaffecté.

Demain, Belfort...

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Coordonnées de l'aire naturelle de Frahier-et-Chatebier (47° 39’ 57” E 6° 44’ 9”)

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A bientôt pour la suite de notre 69 ème périple

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«J'ai dit à ma belle-mère qui était en vacances chez moi :

- Faites comme chez vous !

Elle m'a répondu :

- Dans ce cas, sortez de chez moi ! »

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Du belvédère du Moine de la Vallée au parking du Saut du Doubs, en repassant par Pontarlier

Périple du 2 mai  2018 au  22 mai  2018

14ème jour : Mardi 15 mai 2018

Pratiquement comme tous les jours, il a plu toute la nuit et ça persiste ce matin.

Comme on ne peut rien visiter avec cette pluie, on décide d'aller au supermarché de Pontarlier faire des provisions.

En début de l'après-midi, la pluie commence à se calmer, on quitte Pontarlier, direction le hameau de Taillards-les-Vions (commune de Villers-le-lac – 25130) où nous arrivons vers 16h30.

A 1km du hameau se trouve un parking proche du saut du Doubs.

Le parking est vraiment pentu, nous obligeant à mettre - du côté gauche - des cales en plus des vérins !!!

Un timide soleil fait son apparition mais c'est un peu tard pour faire l'aller-retour au Saut du Doubs ! 

Ce soir on dort sur ce parking et on verra demain la météo...

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Coordonnées du parking du Saut du Doubs (47° ’ 8” E 6° 42’ 7”) 

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Du parking du Saut du Doubs à Villers-le-lac

Périple du 2 mai  2018 au  22 mai  2018

15ème jour : Mercredi 16 mai 2018

Il ne manquera pas d'eau dans le Jura cette année : il pleut ! Il pleut  (pauvre bergère!!)

Il pleut à ne pas mettre un chat dehors et encore moins des camping-caristes !!!

Donc on passe la matinée dans notre maison-sur-roues.

Vers 15h, la pluie se calme, alors on s'équipe (kway+parapluie) et on va aller jusqu'au Saut su Doubs.

Le sentier est boueux et pentu, mais assez rapidement on rejoint une petite route goudronnée qui mène au ''bassin du Doubs''.

(clic sur les photos pour les agrandir)

Dans le dernier virage, à travers les arbres, on  aperçoit le ''bassin du Doubs'''.

C'est le débarcadère (ou embarcadère) des bateaux d'excursions sur le Doubs en provenance de Pontarlier (rive gauche) mais aussi des Brenets (rive droite, côté Suisse).

Nous sommes en France et le bâtiment en face est en Suisse.

La ligne de flotteurs bleus indique la fin de la partie navigable du Doubs car ==>

==> car au-delà le Doubs devient un torrent !

Maintenant, il faut grimper jusqu'au ''belvédère du haut''.

Montée un peu raide, mais ça valait la peine !

On aperçoit des gens sur le ''belvédère du Bas'' (rive gauche, donc à droite sur la photo).

Par contre sur le belvédère côté Suisse (à gauche sur la photo), pas de spectateurs !

« Le Saut du Doubs, une impétueuse chute d'eau de 27 m, classé Grand Site National, est le résultat d'un éboulement qui a verrouillé le passage de l’eau. »

Maintenant, on descend au ''belvédère du Bas''.

On est au ''belvédère du Bas'' et en face c'est le belvédère Suisse.

Il doit guetter un poisson !

En nous penchant, on est vraiment au-dessus de cette cascade !

Retour au ''Bassin du Doubs'' : à gauche la Suisse et à droite la France.

Il nous faut maintenant revenir jusqu'au camping-car avant que la pluie recommence.

Demain, on a programmé l'excursion en bateau sur le Doubs, alors on va à Villers-le-lac s'installer sur le parking des ''Bateaux du Saut du Doubs''.

L'hôtesse d'accueil n'est pas très sympathique : en prenant les billets (14€90 par personne), on a droit au stationnement pour la nuit gratuit, mais par contre si on veut faire le plein d'eau c'est 3€ !!!

A demain pour l'excursion...en espérant que la pluie ne soit pas invitée !

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Coordonnées du parking des ''Bateaux du Doubs'' (47° 3’ 23” E 6° 40’ 14”) 

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A bientôt pour la suite de notre 69 ème périple

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«Si j'étais né avant mon père, j'aurais pu être le sien. »

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Visite du creux Billard, cascade du Lison, grotte Sarrasine

De la cascade du Lison au camping de Lods, en passant par Ornans

Périple du 2 mai  2018 au  22 mai  2018

10ème jour : Vendredi 11 mai 2018

Il fait beau, on va admirer la cascade du Lison sous le soleil. 

(clic sur les photos pour les agrandir)

«La source est le point de départ de la rivière du Lison, qui continuera ensuite son parcours sur 25 kilomètres avant de rejoindre la Loue.»

« La source jaillit d'une bouche dans la falaise et devient très impressionnante après de fortes pluies. » Mais ce n'est pas le cas ce matin !

« Sa grotte, la cascade (jamais à sec) qui en jaillit, les couleurs bleu vert en toute saison, en font un lieu de visite des plus appréciés. »

« C'est, après la Loue, la plus puissante résurgence du Jura ; elle débite déjà 600 litres à la seconde, en basses eaux. »

Une fois dans la grotte, on grimpe (passage glissant avec main-courante) sous le tunnel percé dans le roc qui conduit à une plate-forme appelée la ''Chaire à prêcher''.

« Alimentée par les eaux du plateau calcaire qui la domine et par de nombreuses fissures qui ont creusé des galeries souterraines, typiques du relief karstique du Jura,  c'est cette eau qui va alimenter la cascade. »

Après un petit repos à notre auto-caravane, on poursuit notre périple avec un arrêt au S.U. de Ornans (25290) pour faire des provisions.

Puis nous prenons la direction de Lods (25930) où nous avons repéré un camping municipal qui semble accueillant.

Aude, la sympathique et charmante receveuse, passe nous voir vers 18h30. Le tarif pour 2 nuits  : 18,40 € , services compris(sauf EDF 3€ mais nous n'en avons pas besoin). Camping que nous recommandons.

Demain, s'il ne pleut pas, nous visiterons le village de Lods...

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Coordonnées du camping de Lods (47° 2’ 45” E 6° 14’ 17”) 

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A bientôt pour la suite de notre 69 ème périple

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«La logique parfaite d'homme :

MimiManouche demande à MacManouche :
« Peux-tu aller au marché et acheter un carton de lait, et s'il y a des œufs, prends en 6. »
Quelques instant plus tard MacManouche revient avec 6 cartons de lait.
MimiManouche lui demande :
« Pourquoi tu as acheté 6 cartons de lait ? »
MacManouche répond :
« Parce qu'il y avait des œufs!  »

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