MacManouche.com

Les MacManouche : suite du tour du Cap Ferrat

10 octobre 2020

Après petite pause, on continue la balade du tour du Cap Ferrat.

On est entre la pointe Pilone et la pointe Moulalier.

On a passé la pointe Moulalier et l'on arrive dans la partie des criques.

Sur ce versant ouest de la presqu’île, les criques se succèdent.

Voilier au mouillage à proximité d'une crique.

Toujours le voilier et, au loin, Villefranche-sur-Mer.

Plante grasse : agave ou aloé ? Difficile à dire étant donné la ressemblance entre ces deux types de plantes

La crique de la pointe Pilone est un terrain de jeux pour les funambules.

Un funambule s'appareille pour traverser la crique.

Le funambule est masqué (pas pour la Covid-19) mais pour rendre plus difficile sa traversée !

Il chute plusieurs fois mais, retenu par son élastique de sécurité, il arrive à remonter sur le fil. Mais comme ça devient long, on continue notre balade et on ne saura pas s'il a réussi à traverser.

Les criques se succèdent.

Sur le panneau au départ de la balade, on pouvait lire ''sentier déconseillé aux personnes sujettes au vertige'', et il s'est avéré que certains passages étaient (un peu) vertigineux !

Au loin , dans le flou, la côte depuis les Marina de Villeneuve-Loubet jusqu'au Fort-Carré d'Antibes.

Nous passons sous le sémaphore du Cap Ferrat.

« Le sémaphore fut construit en 1862 par décision de Napoléon III. Appartenant à la Marine Nationale ses missions actuelles comprennent la régulation du trafic maritime, mais également la surveillance des départs d'incendie sur la côte. Il culmine à 143 m d’altitude. »

Encore une petite pause avant d’atteindre la pointe Malalongue et son phare ...

SOURCE :

https://www.saintjeancapferrat-tourisme.fr/decouvrir-saint-jean-cap-ferrat/patrimoine/

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A bientôt pour la suite de ce ''9ème Hors périple''

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« Avec ton voisin, ne parle ni de ta femme ni de la sienne.»

Raymond Lulle

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Balade depuis le Plomb du Cantal

Mercredi 26 juin 2019

On laisse le Plomb du Cantal pour aller jusqu'au Puy Brunet (1806m) et à l'Arpon du Diable (1777m), petite balade de 3km A/R.

Le Buron du Col de Prat de Bouc (1392m), au pied du Plomb du Cantal, versant EST.

La vallée de la Cère et les Monts du Cantal, versant OUEST du Plomb du Cantal.

« La pointe du Plomb Cantal , en forme de pommeau, est un ancien lac de lave solidifié mis en relief par l’érosion de ses flancs. »

La station du Lioran et, au premier plan, la réserve d'eau du Buron des Gardes.

Vacherie de Grandval (1450 m) située dans le Cirque de Grandval.

Panneau nous indiquant que nous sommes arrivés au Col Brunet.

La pointe de l'Arpon du Diable.

Le Plomb du Cantal (flèche).

Le vallon fleuri du ruisseau de Delbarat, qui prend sa source sur le versant Ouest du plomb du Cantal.

Encore des fleurs

Trolles

Pensées

Céraiste de montagne

Plant de myrtilles pas encore mûres.

Gentiane étoilée.

Anémones soufrées

C'est la fin de la balade et on laisse derrière nous le Puy Brunet et l'Arpon du Diable ==>

==> et sur notre gauche la vallée de la Cère et les Monts du Cantal, ==>

==> et devant nous le Plomd du Cantal !

Et, nous redescendons sur la station du Lioran par le téléphérique, bien sûr !

Comme les chiens sont acceptés dans le téléphérique - tenus en laisse obligatoirement - Jaïka nous a donc accompagnés pour cette balade, et maintenant elle se repose, au frais sous l'ombre des arbres.

Ce soir, nous dormons au Lioran et nous ne sommes pas seuls...

SOURCE :

https://www.pays-saint-flour.fr/patrimoine-naturel/plomb-du-cantal-col-de-prat-de-bouc/

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Coordonnées du parking du Lioran: (45° 5’ 1” E 2° 44’ 55”) 

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A bientôt pour la suite de ce 85ème périple'

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« J'espère qu'un jour la France aura un gouvernement qui s'occupe des Français plus que des intérêts de sa famille et de ses copains, que les vieux auront une retraite décente et qu'ils pourront arrêter de travailler à un âge où l'on peut profiter de la vie !»

Coluche

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Balade à pied du Col d'Aubisque au col d'Arbaze

Mercredi 22 mai 2019

Panorama à notre réveil !

Alors, comme nous sommes obligés de modifier notre parcours puisque la route est fermée, nous décidons de faire une balade pédestre.

C'est parti pour le Col d'Arbaze (1799m)

Au centre (de la photo) le Pic de Ger (2613m)

Le parking du Col d'Aubisque, le restaurant et les 3 vélos : jaune (pour le leader), vert (meilleur sprinteur) et à pois rouges sur fond blanc ( meilleur grimpeur).

On a commencé à grimper et on aperçoit (à gauche) l'hôtel-restaurant ''Les Crêtes Blanches'' et à droite un petit bâtiment au départ d'un téléski.

Le village de Gourette (64440) et à droite la cascade.

Zoom sur la cascade.

Panorama versant EST, côté Col du Soulor

Jaïka se régale sur les plaques de neige !

Des nuages s'accrochent aux sommets. Le col d'Arbaze est sur la gauche.

Depuis le col de Casteix, de gauche à droite, le sommet de Pène Medaa (2520m) et le Pic du Ger (2613m).

Quelques fleurs vues en chemin

Orchidées du Béarn

Gentianes étoilées.

Gentiane des Pyrénées

Renoncule

Narcisses mutiques

La route vers le col du Soulor.

Des nuages commencent à s'accrocher au Pic de Ger.

Panorama au Nord du col D'aubisque, avec le Soum de Grum qui culmine à 1870 mètres.

Le Col d'Arbize qui semble pas très loin, mais le sentier est enneigé : par prudence, nous rebroussons chemin.

Quel plaisir de se coucher dans la neige ou ==>

==> ou de se reposer dans l'herbe !

Fin de cette balade vers le Col d'Arbaze. Le parking commence à se remplir !

Comme cette balade a été écourtée, on va en faire une autre...

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A bientôt pour la suite de ce 84ème périple'

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«Dieu a dit : il faut partager. Les riches auront la nourriture. Les pauvres l'appétit.»

Coluche

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Du Col de Larche à Beinette

3ème jour : Jeudi 25 octobre 2018

Nuit calme au Col de Larche, sauf vers 5h du matin lorsque l'un des 2 routiers a fait chauffer le moteur de son camion pendant plusieurs minutes !

(clic sur les photos pour les agrandir)

Après le petit déjeuner, comme il fait très beau, on fait une petite balade pédestre.

Côté français, cette simple chapelle dédiée à sainte Marie-Madeleine.

Jaïka est parti en avant sur le chemin.

Versant italien avec le lac de la Madeleine (Lago della Maddalena) et la route que nous emprunterons après la balade.

Le temps est parfait pour les photos !

Un petit bout du lac de la Madeleine.

Panorama

Mélèze, seigneur de la montagne

Le mélèze pousse entre 1200 et 2400 m d'altitude.

Tout en bas de la photo, au centre, on distingue le parking du Col de Larche !

A la croisée des routes aériennes !

Un étang (laghetto) pour permettre aux moutons de s'abreuver.

Des dentelles de rochers !

Zoom sur le lac de la Madeleine.

Le lac de la Madeleine et sur la gauche, le parking du col de Larche.

Quelques fleurs rencontrées

Trolle

Anémone de montagne

Gentiane étoilée (un peu floue)

Colchique

Après la balade, on va se garer au bord du lac de la Madeleine pour le repas de midi.

Le lac et au loin, sur la droite, le col de Larche.

En descendant le col de Larche, côté italien, quelques photos de la forêt automnale.

Ruines de cet ancien village de Grangie détruit par une grosse avalanche.

Grangie se trouve sur la route du col de Larche, côté italien, à environ 5km du col.

Comme il est un peu tard, on ne s'arrête pas à Peveragno chez les cousins et il nous faut faire le plein d'eau et les vidanges.

Donc nous faisons halte à Beinette (12081). L'aire où se trouve la borne des services est en bord de route. Un habitant nous conseille d'aller nous installer vers le parc de loisirs situé à 400m dans la rue Rifreddo.

Une fois installés, on prend contact téléphoniquement avec les cousins pour passer chez eux samedi.

Demain, on ira passer la journée à Pradeboni.

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Coordonnées de cette aire de Beinette : (44° 21' 24.5'' E 7° 38' 47.9'' ) (un point d'eau) 

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A bientôt pour la suite de ce 74ème périple

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« Et j'regarde mes contemporains. C'est dire si j'contemple rien.»

Paroles de la chanson ''Cent Ans'' par Renaud

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De  Vielle-Saint-Girons à Moliets-et-Maâ, en passant par Pichelèbe 

Périple du 2 novembre 2016  au 23 novembre 2016 

 7ème  jour :  mardi 8  novembre  2016

La météo avait raison : pluie toute le nuit ainsi que ce matin ! Donc on flemmarde dans le camping-car.

Vers 11h, on va jusqu'à Linxe (40260), à 5km, pour poster du courrier et en même temps on en profite pour acheter du pain pour midi.

Ensuite, on se rend à Pichelèbe (40660), en espérant, si le temps le permet, balader sur un sentier découverte.

On stationne sur le parking de la ''Réserve naturelle du Courant d'Huchet'', interdit aux camping-cars 

(NDLR : dans les Landes, le stationnement y est interdit de 22h à 8h pour les camping-cars et pour tous les véhicules aménagés !!!

Certaines communes ont placé des panneaux interdisant l'accès des parkings aux véhicules de plus de 1m90 !!!!

Donc il faut aller soit dans les campings, soit sur les aires payantes ou alors il faut s'éloigner de l'océan pour trouver des communes accueillantes !

Les camping-caristes ne sont pas les bienvenus dans les Landes !)

Après la pause repas, malgré le temps qui reste menaçant mais il ne pleut plu, on va balader le long du courant d'Huchet*, vers l'amont.

« Le courant d'Huchet*, véritable cordon ombilical entre l'étang de Léon et l'océan atlantique, constitue un site riche en histoire, en traditions et en habitats pour la faune et la flore. Il est à ce jour le seul cours d'eau du golfe de Gascogne dont l'embouchure n'a pas été stabilisée par travaux d'endiguement.

La mise en réserve naturelle du courant d'Huchet est née de la volonté de conserver un site unique d'une grande richesse botanique en limitant les activités humaines ainsi qu'un excès de fréquentation touristique sur le courant. Sa superficie est de 618 ha. » (source : http://www.reservenaturelle-couranthuchet.org/ )

« La végétation tropicale a donné au Courant d’Huchet ce joli nom d’ ''Amazonie Landaise''. »   ( source : http://www.moliets.com/La-Reserve-Naturelle-du-Courant-d.html )

Sur ce sentier, on peut voir des cyprès chauves de Louisiane.

« Le cyprès chauve est un conifère pouvant mesurer 30 à 40 mètres. Pour survivre dans les milieux difficiles où il s'est d'abord développé, notamment dans les zones marécageuses de Floride, il a développé tout autour de son tronc de curieuses racines aériennes, appelées pneumatophores*, dressées comme des stalagmites, afin de permettre le fonctionnement d'un système respiratoire particulier.

Cette espèce dispose également d'une autre particularité inhabituelle chez les conifères : celle de perdre ses feuilles en hiver, d'où son qualificatif de ''chauve''. » ( source : http://www.futura-sciences.com/planete/definitions/botanique-cypres-chauve-8503/) 

« pneumatophore*. Excroissance verticale des racines de quelques arbres des marécages, permettant la respiration des racines en milieu aquatique, en s'élevant jusqu'à l'air libre. »    ( source : http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/pneumatophore/61865 )

La principale curiosité de ces arbres, ce sont toutes ces racines qui sortent de terre par l'intermédiaire de protubérances de formes et tailles différentes.

Ces racines s'apparentent à des sortes de piques ou de statuettes plantées dans le sol !

Feuillage de cyprès chauves.

En revenant vers le camping-car, une petite pluie nous oblige à ouvrir les parapluies, mais comme ça ne dure pas, on emprunte le sentier qui mène à l'embouchure du courant d'Huchet. (carte ci-dessus)

« Le Courant d’Huchet relie le lac de Léon à l’océan. … == > …

… == > ... Site classé en 1932, réserve naturelle en 1981, il a été découvert en 1908 par Gabriele D’Annunzio (écrivain italien), de passage dans les Landes. » ( source : http://www.moliets.com/La-Reserve-Naturelle-du-Courant-d.html )

Sur le sentier qui nous mène à l'Océan, on fait un arrêt à la cabane d'observation de la faune du marais de la Pipe.

Le marais de la Pipe, vu depuis l'observatoire.

On n'a vu aucun animal !

Le courant d'Huchet.

La forêt et … == > ...

… == > ... et, au-delà des arbres la dune !

La pluie recommençant à tomber et l'embouchure du courant d'Huchet (et donc l'Océan) étant encore trop loin, on décide de rebrousser chemin, ce qui n'est pas pour déplaire à Jaïka qu a soif !

Sur le chemin du retour, une petite mare permet à notre boubou de s'abreuver !

On arrive un peu mouillés au camping-car, mais on est à l'abri quand un gros orage éclate !

La nuit approchant et comme on ne peut pas passer la nuit sur ce parking, on décide d'aller jusqu'à au Super U. de Moliets-et-Maâ (40660)

La nuit commençant à tomber et n'ayant pas prévu d'endroit pour dormir, on décide de passer la nuit sur le parking gravillonné du supermarché, avec l'autorisation de la responsable du magasin.

Demain, on avisera ...

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A bientôt pour la suite de notre  54ème périple

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