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De Arjuzanx à Vielle-Saint-Girons, en passant par Lévignacq 

Périple du 2 novembre 2016  au 23 novembre 2016 

 6ème  jour : lundi  7  novembre  2016

Comme les autres jours, pluie dans la nuit ! Mais, heureusement, le soleil fait son apparition ce matin !

Après le petit déjeuner, on va faire le tour du lac d'Arjuzanx.

« Situé sur le territoire des communes d’Arjuzanx, Morcenx, Rion des Landes et Villenave, le site d’Arjuzanx s’étend sur 2 679 ha. … == > …

… == > … Au cœur du département des Landes (40), le site d'Arjuzanx est né de l’exploitation et de la réhabilitation par EDF d’une mine de lignite. Les travaux de réhabilitation écologique et l’évolution naturelle ont donné à ce site une dimension naturelle remarquable avec des paysages fort en contraste, des habitats diversifiés et des espèces d’une exceptionnelle valeur patrimoniale. … == > … 

… == > … Acquis en 2002 par le Département des Landes, le site est géré dans un double objectif de protection durable et de valorisation de ce patrimoine naturel.

De janvier 2014 à mars 2015, un vaste programme d'aménagement a été mis en œuvre pour améliorer les conditions d'accueil du public : construction d'une Maison de la réserve avec accueil, exposition, bar snacking, réalisation de sentiers de découverte avec des cheminements adaptés PMR, restructuration des aires de stationnement, »   (source : http://www.reserve-arjuzanx.fr/ )

Sur le parcours on aperçoit des grues cendrées, mais ce ne sont que des statues !!! « Idéalement situé sur le principal couloir migratoire européen, Arjuzanx est un site majeur pour l'accueil des oiseaux migrateurs. C'est notamment la terre d'accueil la plus importante en France pour les grues cendrées.                                                                     Elles sont plus de 25 000 à rester hiverner dans les Landes chaque année ! »                     ( source : http://www.tourismelandes.com/site-naturel-d-arjuzanx )

La base de loisirs du lac d'Arjuzanx.

Notre tour du lac (7km) touche à sa fin, heureusement car le temps se gâte !

Nous arrivons au camping-car en même temps que la pluie !

Après le repas, on visite la ''Maison de site dédiée à l'accueil des visiteurs''.

« Tout de bois vêtue, une belle maison d'accueil vous attend à l'entrée du site pour vous fournir les clés de la compréhension du site.

Retrouvez une maquette de l'immense site d'Arjuzanx ! Vous y découvrirez aussi l'histoire minière d'Arjuzanx, lorsqu'EDF exploitait la mine de lignite et une centrale thermique. »  
( source : http://www.tourismelandes.com/site-naturel-d-arjuzanx )

Après cette intéressante visite, on quitte Arjuzanx pour nous rendre à Lévignacq (40170),   « village typique des Landes qui a beaucoup de charme avec ses vielles maisons basses d'architecture traditionnelle. » ( source : http://www.levignacq.org/ )

Le camping-car est garé sur la place de l'église à côté de laquelle se trouve le presbytère typiquement landais.

« Par sa situation, l'église a pu bénéficier de ce grand pèlerinage.
Fortifiée, l'église du XIVème siècle, se singularise par son clocher-donjon portant une flèche polygonale comme gauchie par le vent.
Vous remarquerez la porte d'entrée Louis XIII en fer forgé et barreaux de bois. » … == > ...

… == > … « Dans le bourg, vous pouvez admirer les nombreuses maisons à colombage, restaurées avec soin, comme la ''Maison Boucau (1847)'' … == > ...

La Poste

… == > … « Au gré de vos pas, vous découvrirez les maisons anciennes datant du dix-neuvième siècle .  … == > …

Maison typique … ou ce qu'il en reste !

… == > … Le village se trouve dans la vallée étroite du ruisseau du « Vignac », l'un des plus gros ruisseaux qui forment le courant de Contis. »                                          ( source : http://www.levignacq.org/ )

Tour du village terminé, on file à Vielle-Saint-Girons (40560) où se trouve une aire pour camping-cars. Malheureusement l'accès avec notre véhicule est trop compliqué et de plus cette ''aire'' est un parking au bord de la route !

Alors, on va vers l'étang de Léon et, après quelques recherches, on se gare dans une pinède d'un lotissement toujours sur la commune de Vielle-Saint-Girons.

Ce sera l'étape pour la nuit.

D'après la météo, pluie annoncée pour demain …

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A bientôt pour la suite de notre  54ème périple

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De Melay à Thiers (Iloa), en passant par Saint-Haon-le-Châtel

Périple du 17 octobre 2016  au 25 octobre 2016 

 8ème jour   :  lundi  24   octobre  2016

Vers 10h30, on quitte l'aire nautique de Melay où nous avons passé une nuit un peu bruyante à cause de la pluie et nous allons jusqu'à Saint-Haon-le-Châtel ((42370) pour la halte de midi..

Mais comme il est à peine 11h lorsque nous arrivons à l'aire de Saint-Haon-le-Châtel, on va faire le tour du village avant de manger.

On passe devant la « Maison Alliot. » (voir infos ci-dessous)

Un peu plus loin, une porte retient notre attention !

« La porte de l'horloge est l'entrée principale de la ville. Berceau en arc brisé dans une tour carrée, elle est remarquable avec ses vantaux de trois épaisseurs de chêne hérissés de clous, datant du XIVe siècle. Si on ne remarque aucune rainure dirigeant une herse, des substructures subsistent, faisant partie d’un pont-levis dont les infrastructures furent mises à jour lors des travaux de voirie. »

Toujours la porte de l'horloge mais intra-muros !

Nos pas nous mènent devant la « Tour de la Madone » .

La « Tour de la Madone » est une boutique de souvenirs !

Maison à pans de bois !

On grimpe jusqu'à l'église « , ancienne chapelle du château datant du XIIe siècle, est située à l’emplacement primitif de celui-ci. Elle est de style roman. Elle a certainement été construite au début du XIIIe siècle. »

L'église est située sur la Motte Cazan, point culminant du village  !

Maison du cadran solaire ou Maison de l'évêque.

Le cadran solaire !

 Voici maintenant la Tour de Favières. « Cette tour d’angle, carrée, aux angles arrondis, soutenait la première enceinte du XIIe siècle. Son nom, un peu mystérieux, évoque une activité économique importante du pays : Faber, en latin le forgeron, se disait aussi d’une tour engagée et dominante à l’avant d’un dispositif défensif, ce qui serait le cas de cette tour avancée de la première enceinte. »

Mur de verdure !

« L’hôtel Jean Pelletier est une demeure de la fin du XVe siècle. Il est construit en appui sur l’une des 17 tours de la grande enceinte. Le tympan de l’entrée est surmonté des armes de Jehan Pelletier, baron de Beaucresson, et porte sa devise : ''Soyons prudents comme des serpents, simples comme des colombes'' . »

« Salle d’audience de la justice de paix à la fin du XIXe siècle, cet édifice est devenu la mairie vers 1830. Aujourd’hui, il sert de lieu d’expositions, d’animations et abrite une étude notariale. »

« La Porte de la trahison ou Poterle est un ancien passage voûté sous une maison, visible il y a encore quelques années. Elle semble avoir été une des trois portes de la deuxième enceinte de la ville, protégée par une barbacane donnant sur le faubourg de Fondanges. Par son nom, elle nous rappelle la ''Praguerie* '' qui vit le Dauphin Louis (futur Louis XI) lutter pour le pouvoir contre son père, Charles VII. Une légende tenace affirme qu’un habitant de la ville (qui avait soutenu le parti du Dauphin) alla discrètement ouvrir la porte aux armées royales qui assiégeaient Saint-Haôn-le-Châtel. Les bombardes de Charles VII avaient alors ouvert une large brèche dans le rempart ouest près de cette porte. »

(*La Praguerie (1440) est une révolte menée par les grands vassaux de France contre les réformes militaires du roi Charles VII. Le dauphin, futur Louis XI, fait partie des révoltés. La fronde est nommée « Praguerie » en allusion à la révolte des Hussites à Prague, au début du XVe siècle. )

On continue notre visite par les remparts.

« La tour Jusserand est une tour carrée qui présente encore ses mâchicoulis. ... == > ...

... == > ... Un monument est érigé à son fondement à la mémoire de Jean Jules Jusserand, ambassadeur de France, ami personnel du président Théodore Roosevelt, dont l’influence sera déterminante pour décider les USA à entrer en guerre en 1917 au cours de la Première Guerre mondiale. »

« Deux enceintes successives ont protégé Saint-Haon-le-Châtel. La première, les Petits Remparts, date du XIIe et a sans doute succédé à une palissade de bois. Au XIIIe siècle, le Comte de Forez octroie à Saint-Haon-le-Châtel une charte d’affranchissement. La ville est alors dotée de remparts construits en trois générations de 1270 à 1340. Remparts dont on peut encore admirer les nombreux vestiges. L’enceinte de porphyre rose compte toujours sept tours, sur les 17 dont elle était pourvue à l’origine. Percée de quatre portes, elle fut en partie détruite en 1440 par l’assaut des troupes de Charles VII lors de l’épisode de la '' Praguerie'' ».

Au pied de la tour Jusserand, un tapis de cyclamens sauvages … == > …

… == > … et MimiManouche s'empresse d'en cueillir une poignée pour le bouquet du camping-car !

De retour au camping-car, on déjeune puis, après la pause « Nespresso », on repart pour la halte de la dernière soirée de ce périple : Thiers, aire d'Iloa, aire que nous connaissons.

Une fois installés sur l'aire, on fait le tour du plan d'eau, puis on se met au chaud dans notre « studio roulant » !

A demain...

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De Thiers (Iloa) à la maison

Périple du 17 octobre 2016  au 25 octobre 2016 

 9ème et dernier jour   :  mardi  25   octobre  2016

Pluie toute la nuit.

C'est le retour à la maison avec un petit crochet chez notre concessionnaire pour signaler qu'un brûleur de notre plaque de cuisson ne fonctionne plus.

Ce soir, on dort à Doulioux !

Fin de ce 53ème périple

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A bientôt pour un autre  périple

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De Paray-le-Monial à Beaubery, en passant par Suin

Périple du 17 octobre 2016  au 25 octobre 2016 

 6ème jour  ( après-midi )  :  samedi 22  octobre  2016

Après la visite de Paray-le-Monial ce matin et une fois le repas terminé, on part faire les étapes non-faites vendredi à cause du mauvais temps : la butte de Suin et le Mont des Carges sur la commune de Beaubery (71220).

Après avoir roulé un peu sur une « 4 voies », l'itinéraire pour la butte de Suin nous fait emprunter, une fois encore, un petite route (blanche sur la carte) et qui devient même étroite et en montée à l'approche du village de Suin (71220), Heureusement, nous ne croisons aucun véhicule.

Juste avant le dernier virage avant le village, on se gare sur un petit emplacement car MacManouche craint (à tort) de ne pas pouvoir stationner et manœuvrer dans ce petit village.

On monte donc à pieds jusqu'au village et on constate que nous aurions pu arriver en camping-car jusqu'au parking au pied de la butte. Mais tant mieux, ça nous a permis de marcher.

La butte abrita un site fortifié de l'époque celtique jusqu'au XVIème siècle.

La butte de Suin culmine à 593 mètres.

Un sentier mène à la statue de la Vierge.

De là, se dévoile un magnifique panorama circulaire.

Au pied de la statue, se dresse l'église Notre Dame de l'Assomption.

« Son clocher, original, est constituée de 2 parties: Le 1er étage ouvert sur chaque face par 2 baies géminées et à l'étage du beffroi des pilastres cannelés. »

L'entrée de l'église.

On reprend la route vers le village de Beaubery qui sera notre halte pour la nuit.

Toujours par de petites routes, on arrive à Beaubery où l'on s'installe sur une grande place qui sert d'aire pour les camping-cars, avec services gratuits (eau et vidanges).

Une fois chaussés, on part faire la balade du Mont des Carges.   (NDLR : appelé Mont Chatelard sur les cartes).

En traversant le village, cette grange déjà décorée pour Noël retient notre attention !

Au loin, en bas de la rue, l'église de Beaubery

A la sortie du village, un bassin-lavoir avec son (faux) héron !

Pour aller jusqu'au Mont des Carges où a été érigé en 1947 un monument en mémoire des résistants du maquis du Bataillon du Charollais, il nous faut grimper par la petite route qui relie Beaubery à Vérosvres.

Nous ne sommes plus très loin du mémorial.

« De nombreux hommes du village furent fusillés, auxquels rend hommage le Mémorial de la Résistance, situé au sommet du mont Chatelard (ou Mont des Carges) et composé d'une grande croix de Lorraine et de deux canons. »

Inscription sur la plaque commémorative : « Les anciens du Maquis de Beaubery et du Bataillon du Charollais ont élevé ce Monument pour commémorer les combats de la Résistance et de la Libération de 1943 à 1945 de la Saône à la Loire. Tout le pays qui les avait soutenu dans leur lutte a contribué à l'érection de ce Monument par son travail et par ses dons. »

Une esplanade offre une superbe vue panoramique.

« La région est boisée et vallonnée (Mont Botey, Mont Violat, Mont des Carges), ce qui permit de glorieuses opérations de Résistance durant la Seconde Guerre mondiale.  »

Sur le chemin du retour au village, on passe devant un cabane perchée dans un arbre !

Beaubery est un village où les habitants ont de l'humour !

Demain … c'est dimanche …

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A bientôt pour la suite de notre 53ème périple

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De Vérosvres à Paray-le-Monial, en passant par Charolles

Périple du 17 octobre 2016  au 25 octobre 2016 

 5ème jour  :  vendredi  21  octobre  2016

La petite pluie a duré toute la nuit et un peu sur le matin.

Aujourd'hui, nous avions l'intention de passer par Beaubery (71220) et ensuite la butte de Suin, deux lieux avec panorama, mais vu le temps brumeux nous abandonnons ce trajet et nous prenons la direction de Charolles (71120).

Après avoir fait le plein de gazoil, on entre dans Charolles et l'on se gare sur le vaste parking du Pré Saint-Nicolas, proche du centre ville.

Après le repas, le tour de ville bien sûr, avec pour commencer l'église du Sacré Cœur (XIXème siècle) « édifiée entre 1863 et 1868, par l'architecte André Berthier ; c'est un des rares exemples d'architecture néo-romane du Charolais. »

« Le clocher abrite 3 cloches dont la plus ancienne et la plus imposante (1280 kg) provient de l'ancienne église (XIIIè – XVIè siècles) de Charolles qui se situait juste à côté.  »

« Charolles est située au confluent de l'Arconce et de la Semence, petite rivière prenant sa source près de Verosvres et qui se divise en 2 bras. »

Le confluent entre le premier bras de la Semence (à gauche) et l'Arconce (à droite), vu depuis le pont de la rue de Champagny

« L'Arconce et le premier bras de la Semence délimitent une presqu'île sur laquelle s'est installée la ville : on y trouve en hauteur le château de Charolles, l'ancien couvent des Clarisses, et dans la partie basse l'église. »

En nous dirigeant vers l'office de tourisme, on passe devant la place des Quatre Marmoins.

Maison en face de la plaque.

Le bâtiment abritant l'Office de Tourisme, ancien couvent des Clarisses.

« A l'époque médiévale, ce bâtiment aux fenêtres à meneaux est une habitation bourgeoise comprenant un escalier en pierre à vis et la galerie. En 1632, les Clarisses s'y installent, et les cellules des novices sont installées sur la galerie. »

Puits dans la cour de l'ancien couvent.

Un peu plus haut, dans la rue Baudinot, la salle du bailliage (XVIIIè siècle).

Tout en haut de la rue Baudinot, le site fortifié, installé sur un éperon rocheux, comprenant le château où de nos jours se trouve la Mairie.

On y accède par une porte surmontée de mâchicoulis.

Une fois la porte franchie, on se trouve dans un joli parc avec, à l'une de ses extrémités, la Tour Téméraire (1471-1474).

Cette tour s'élève à 27m50 et possède des murs de 2m10 d'épaisseur !

Les anciens remparts transformés en jardin botanique.

Depuis les remparts, vu sur l'hôpital « (1843-1845), construit par l'architecte Berthier sur le terrain de l'ancienne église priorale. Il accueille durant la Première Guerre Mondiale les militaires blessés. Orienté au sud, il se compose d'une chapelle centrale et de 2 ailes symétriques. »

A l'autre extrémité du site, « Le Canon Archer (inventé par Joseph Archer) était une espèce de mortier capable d'utiliser toutes sortes de munitions. Après bien des déboires, il fut adopté par l'armée française le 18 août 1917 et donna toute satisfaction lors de l'offensive du 15 juillet 1918. »

Le site fortifié vu depuis la rue de la Condemine.

Après cette promenade très intéressante à la découverte de la ville de Charolles, on regagne le camping-car pour ... == > ... 

... == > ... pour nous rendre à la Maison du Charolais d'où démarre le sentier des Fours à Chaux sur lequel, d'ailleurs,  s'est engagée Jaïka  !

Quelques vaches « charolaises » rencontrées en chemin.

A la sortie du hameau de Collanges (commune de Vendenesse-les-Charolles) un très joli lavoir datant de 1866.

Quelques hectomètres plus loin, on aperçoit les fameux fours à chaux.

Pour des informations détaillées : historique, fonctionnement, … clic sur le lien ICI

Sur la fin de notre balade, on passe devant un vieux pigeonnier.

(NDLR : pigeonnier photographié dans son environnement, donc sans modification "photoshopsienne " …).

On est presque au terme de la balade des Fours à Chaux, et le temps se couvre.

Arrivés au camping-car sans avoir ouvert les parapluies !

Maintenant , on file à Paray-le-Monial (71342).

Un peu de mal à trouver l'aire à cause de travaux et des déviations. Tous les emplacements réservés aux camping-cars étant complets, on se gare sur les emplacements voitures et nous ne sommes pas les seuls !

Demain,visite de la ville...

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A bientôt pour la suite de notre 53ème périple

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De Craponne/Arzon à Balbigny

Périple du 17 octobre 2016  au 25 octobre 2016 

 1er  jour :  lundi 17 octobre  2016

Après une petite semaine à la maison où nous avons eu la visite  des cousins Clo&Mado (mais courte visite car pas de cèpes !), puis une invitation au restaurant avec la famille Dufour et un repas chez les GéDal avec Henri & Lucette, nous voici prêts pour un 53ème périple.

Périple en Bourgogne, plus exactement dans le charolais et un peu dans le brionnais.

Départ à 14h, Arrivée à l'étape du soir vers 16h30, avec, en route, un arrêt au Super U de Saint-Bonnet-le-Château (42380) pour les provisions.

L'aire naturelle (sans services) de Balbigny (42510) n'est pas terrible comme environnement, mais pour une nuit on s'en contentera ! Et on sera certainement seuls ce soir !

Pendant que MimManouche prépare le souper, petite promenade pour Jaïka et MacManouche. Au-dessus de La Loire.

Le pont de la Loire.

La journée s'achève, au chaud, dans le camping-car.

Demain, on entre en Borgogne.

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De Balbigny à Châteauneuf, en passant par Saint-Marcel-de-Félines puis La Bénisson Dieu et Charlieu

Périple du 17 octobre 2016  au 25 octobre 2016 

 2ème jour  :  mardi 18 octobre  2016

Petite pluie sur le matin. 

On quitte l'aire de Balbigny, avec Châteauneuf (71740) comme objectif pour l'étape de ce soir.

En chemin, première halte à Saint-Marcel-de-Félines (42122).

C'est parti pour un petit tour du village, avec tout d'abord l'église.

Après l'église, le château.

Halte suivante pour la pause de midi à La Bénisson Dieu (42720), célèbre par son abbaye.

Église et son clocher de l'Abbaye de La Bénisson Dieu.

Détail de la toiture avec ses tuiles vernissées.

« L'abbaye ferme au moment de la Révolution et ses bâtiments servent de carrière de pierres. Dominée par son imposant clocher, seule l'église subsiste avec sa remarquable couverture en tuiles vernissées, amputée néanmoins du choeur et du transept. »

L'abbaye de La Bénisson-Dieu est un monastère cistercien.

Après la visite de l'abbaye de La Bénisson Dieu, puis le repas et un bon café, on reprend la route jusqu'à Charlieu (42190), avant-dernière étape avant l'arrivée à Saint-Maurice-lés-Châteauneuf (71740).

A Charlieu, on arrive difficilement à trouver à se garer. Finalement, vers l'ancienne gare, on se pose sur les emplacements "bus" ! Et on part pour une visite de Charlieu.

Tout d'abord l'abbaye Saint-Fortuné de Charlieu, ancienne abbaye bénédictine.

« Le narthex - vestibule à l’entrée de l’église, qui précède donc la nef - avait pour fonction d'accueillir ceux qui ne pouvaient pénétrer dans la basilique pour assister au culte, les catéchumènes, les énergumènes et les pénitents, qui étaient momentanément exclus. »

« catéchumène. Personne qui, ayant entendu parler de Jésus-Christ, demande à l'Église de le lui faire connaître et désire devenir chrétien par le baptême. »

« énergumène. Personne exaltée qui parle, gesticule avec véhémence ; excité, forcené. »

« pénitent. Personne qui se présente au prêtre pour confesser ses péchés et recevoir le sacrement de la pénitence. »

« C’est au XIIIe siècle que les habitants de Charlieu, devenus plus nombreux, et surtout après le conflit entre les bourgeois et les moines bénédictins de l’abbaye Saint-Fortunat, que l’église Saint-Philibert fut construite. » 

Quelques maisons ayant retenu notre attention au cours de la visite de la ville.

Visite terminée, l'heure tourne, il nous faut continuer notre route jusqu'a Chäteauneuf (71).

L'aire de Châteauneuf est assez vaste, au bord de la rivière le Sornin. Endroit agréable mais peut-être un peu bruyant à cause de la route.

Le vieux pont de Châteauneuf sur le Sornin, entre Châteauneuf et Saint-Maurice-lès-Châteauneuf.

Demain, tout dépendra de la météo...

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A bientôt pour la suite de notre 53ème périple

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