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De Issigeac à Monpazier, en passant par Biron

Périple du 2 novembre 2016 au 23 novembre 2016

18ème jour : samedi  ( après-midi ) 19 novembre 2016

Comme prévu, après le repas, on va visiter le village d'Issigeac

Sur la place du village, face à face, le Palais des Évêques de Sarlat et l'Église St Félicien.

Le Palais des Évêques de Sarlat … == > …

… == > … Aux bâtiments de l’abbaye ruinés par les guerres de religion, succède cette grande demeure (1660) d’un style très sobre malgré ses élégantes tourelles de brique. … == > …

… == > … C’est l’œuvre de François II de Salignac de la Mothe Fénelon. … == > …

… == > … Cet ancien château abrite au rez-de-chaussée l’Office de Tourisme.

L'Église St Félicien, avec … == > …

… == > … , avec son clocher octogonal aux imposants contreforts et sa flèche, domine les toits du village.

Gros plan sur le porche de l'église.

Face au Palais des Évêques, la Maison des Dîmes (la dîme - le dixième des récoltes -était un impôt dû à l’église), importante demeure dont le premier niveau est médiéval, avec ouvertures en arc brisé ; la partie supérieure est contemporaine du palais des évêques, avec une étonnante toiture à la française.

La Rue de l’Oustal, un ensemble de maisons sur la seule rue rectiligne du bourg en colimaçon. Ce sont de petites maisons semblables, avec un rez-de-chaussée en pierre qui abritait l’atelier.

Les maisons à pans de bois : c'est un travail de charpentier sur un premier niveau de pierre. 

… == > … L’assemblage des bois verticaux (les poteaux) et horizontaux (les sablières) est comblé par un torchis. … == > …

… == > … La façade s’anime avec des croix de St André (en X).

L'ancienne halle aux grains, très bien conservée!

Une maison avec un joli et original balcon en bois, mais pas facile à photographier !

Un peu plus loin, un vieil escalier en pierres.

A l'angle de la ''Gran'rue'', la Maison des Têtes, avec ses arcades de pierre, ses pans de bois ornés de têtes de bois sculptées. … == > …

… == > … Importante maison de la fin du XVe siècle, elle comporte à son dernier niveau un pan de bois losangé, à croisettes, avec un décor de colonnettes sur les poteaux et sous l’appui des croisées des têtes grotesques. … == > …

… == > … La Maison des Têtes, est malheureusement à l’abandon.

On laisse Issigeac derrière nous, pur nous rendre au village de Biron (24540) où se trouve, parait-il, un ensemble architectural exceptionnel … == > …

… == > … le château de Biron !

Le château vu de la route, en arrivant sur Biron.

Une aire pour camping-cars est prévue sous le château.

Le Château de Biron, l’une des 4 baronnies du Périgord avec Beynac, Biron et Mareuil, présente un ensemble architectural impressionnant.

La diversité des bâtiments construits à des époques différentes témoigne de l’évolution du Château au fil des siècles.

L'accès au château étant fermé à cette heure-ci, on s'en retourne vers le reste du village.

Une maison bien restaurée au pied du château.

Le reste du village se trouve à une centaine de mètres plus bas où trône l'église !

L'église est de style roman et de plan cruciforme avec une abside arrondie.

Deux maisons ayant retenu notre attention !

La visite se termine, heureusement, car la batterie de notre appareil photo est presque totalement déchargée !

Dernière photo puis nous regagnons le camping-car pour nous rendre à l'étape du soir : Monpazier (24540) à une dizaine de kilomètres de Biron.

Monpazier que nous visiterons demain...

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A bientôt pour la suite de notre  54ème périple

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De Duras à Monteton, avec d'abord la visite intérieure du château de Duras

Périple du 2 novembre 2016  au 23 novembre 2016 

 17ème  jour :  vendredi ( après-midi ) 18   novembre  2016

Après le repas, on retourne au village pour visiter le château.

14h, nous voici devant l'accueil du château.

Les billets achetés (8€ par personne), nous sommes sous le porche face à l'entrée du château et à la cour d'Honneur ! « Fort de ses restaurations depuis son rachat par la commune en 1969, le Château de Duras surprend par son architecture alliant Moyen-âge et Renaissance, par ses 30 salles à visiter ainsi que la montée à la tour, sans oublier les salles audiovisuelles. » (source : http://evasion-sud-ouest.com/duras-47/chateau-duras.html#sl_i9 )

« Classé Monument Historique, le Château de Duras offre un trésor architectural où se mêlent Moyen Age, XIIème et XVIIIème siècles.  »            ( source    :   http://www.mairie-duras.fr/fr/information/34262/le-chateau-duras )

Le début de la visite commence par la boulangerie qui fournissait du pain aux habitants du château et à ceux du bourg de Duras quand ils s'y réfugiaient. On distingue 2 fours : un grand pour la cuisson du pain et un petit pour celle des pâtisseries. Au-dessus, un compartiment utilisé pour stocker et maintenir les sacs de farine au sec.

Un peu plus loin, la cuisine « aux Cent fagots ». Cette très grande salle est pourvue d’une vaste cheminée où, dit-on, un bœuf entier pouvait y rôtir.

La présence de fontaines permet de signaler la présence d'un système de canalisation, taillé dans le rocher et dans les murs qui alimentait en eau certaines pièces.

Le « grand » puits, d'une profondeur de 30 mètres, se situe au-dessous des escaliers de la cour d'honneur, Creusé au Moyen Âge, il alimentait les éviers du sous-sol et les abreuvoirs de surface.

Ce puits permettait d'alimenter les abreuvoirs en remplissant des seaux que l'on faisait passer par des bouches arrondies (que l'on aperçoit sur la photo) donnant directement accès à la cour d'honneur

Le château possédait sa propre forge !

La porte d'un cachot !

Un étroit couloir pour accéder aux latrines !

« On suppose que le duc et la duchesse venaient prendre leurs repas intimes dans cette pièce. … == > …

… == > … La terrasse du midi accessible depuis le petit salon offre une vue dégagée sur la vallée du Dropt. […] … == > …

… == > … Cour ornée d'un péristyle (ou loggia) à l'italienne … == > …

… == > … et d'un puits profond de 19 mètres, taillé directement dans la roche. … == > …

… == > … Une ouverture percée dans la paroi du puits permettait de puiser l'eau directement depuis le niveau inférieur.   … == > …

… == > … Cette loggia, et l'escalier monumental qui la dessert, auraient été construits vers 1680 […] afin de permettre l'accès aux appartements.  … == > …

Vue sur la cour intérieure depuis la loggia.

… == > … L'ancienne charpente en chêne, toute chevillée, fut construite vers 1740 sous la forme d'une carène de frégate renversée. Elle s’est effondrée dans les années 50, et fût reconstruite en 1975 par des compagnons charpentiers. » ( source : http://www.chateau-de-duras.com/patrimoine-duras/cote-de-duras/visite-chateau.asp )

Nous voici au pied de la tour … == > …

… == > … où nous pouvons admirer le paysage.

Nous pénétrons dans le bas de la tour et  … == > …

… == > … et nous accédons à l'escalier qui va nous mener au sommet de la tour.

Nous gravissons les 120 marches d'un escalier en colimaçon très étroit !

Un petit arrêt pour souffler et faire une photo !

Nous voici, enfin, arrivés au terme de notre ascension de la tour !

On va pouvoir apprécier cet exceptionnel panorama à 360° !

La tour servait à observer les différents mouvements sur les deux vallées, les vignes, les routes, les cours d'eau.

La cour intérieure vue depuis le sommet de la tour !

La toiture soutenue par la fameuse charpente !

Le village de Duras.

Zoom sur la place des arcades et la tour de l'Horloge !

La cour d'Honneur.

Une fois redescendus de la tour, nous continuons la visite en empruntant les coursives qui font le tour du château !

Depuis la coursives, on voit la petite route (barrière) qui mène (sur la gauche) à l'aire pour camping-cars.

Ici, nous sommes sur l'arrière du château et … == > …

… == > … et l'on va passer sur l'autre côté pour … == > …

… == > … pour accéder à un terrasse … == > …

… == > … terrasse située au-dessus de la cour d'Honneur !

Nous descendons l'escalier majestueux pour … == > …

… == > … pour accéder à la cour d'Honneur et à la sortie du château !

La journée à Duras se termine et il nous faut aller à Monteton (47120) pour l'étape de la nuit.

Avant de quitter Duras, on vidange les eaux usées puis on prend la route, direction Monteton où nous arrivons vers 17h.Demain, on verra d'après la météo...

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A bientôt pour la suite de notre  54ème périple

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(NDLR : Ci-dessous 3 liens pour plus d'informations sur Duras et son château

lien 1 : http://www.ladepeche.fr/article/2002/08/13/407501-chateau-duras-histoire-fleur-peau.html

lien 2 : http://www.passionchateaux.com/ch_duras.htm

lien 3 : http://www.memo.fr/MEMOPOI.aspx?ID=5d212f51-4f24-4502-8a4a-8b2911b71de7  )

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De Castets-en-Dorthe à Duras, en passant par Mazerac et Sauveterre-de-Guyenne

Périple du 2 novembre 2016  au 23 novembre 2016 

 16ème  jour :  jeudi  17   novembre  2016

La nuit le long du canal de Garonne a été très calme !

Le temps est mitigé, mais on va quand même balader le long du canal en direction du point de rencontre avec l'Océan et le fleuve.

« Autrefois appelé "Canal latéral à la Garonne", le Canal de Garonne permet avec le Canal du Midi de relier la mer Méditerrannée à l'Océan Atlantique.

Il est long de 193 km, possède 53 écluses dont 3 à Castets.

La dernière permet de rendre le canal accessible à la navigation sur la Garonne et inversement. »  ( source : http://www.castetsendorthe.fr/z/site.php?act=6_3 )

Au loin le château de Hamel qui se trouve au-dessus de la jonction canal/Garonne.

Nous sommes arrivés à la jonction avec à droite la Garonne et à gauche le canal.

« C'est ici que commence, ou se termine, le canal latéral à la Garonne, appelé aujourd'hui canal de Garonne, mais que l'on a aussi parfois appelé à tort, Canal du Midi.

Rappelons que le Canal du Midi va de Toulouse à Sète. Le Canal de Garonne va de Castets-en-Dorthe à Toulouse. On a coutume d'appeler Le ruban d'eau qui va de Bordeaux à Sète : le Canal des deux mers. »  ( source : http://www.canaldumidi.com/Gironde/Castets-en-Dorthe/Embouchure-dans-la-Garonne.php )

« L'écluse 53, dite écluse de Castets, a une fonction particulière en raison de son emplacement à la jonction du fleuve. Elle marque la terminaison du fleuve. Écluse à double sas, elle ne peut être manœuvrée que par un agent habilité compte tenu du régime particulier du fleuve et de la dénivellation de 10 mètres avec le canal. L'écluse est toujours en activité et son fonctionnement peut être observé sachant que le régime d'ouverture est lié aux heures des marées. »   ( source : http://castetsendorthe.fr/z/site.php?act=6_2 )

Maison (inondable) de l'éclusier, écluse 53.

Le pont parfois appelé, à tort, "pont Eiffel", car le très célèbre ingénieur (Gustave Eiffel) n'est pas l'auteur de cet ouvrage.

Il existe trois écluses sur le territoire de Castets en Dorthe, soit d'ouest en est :

- l'écluse 53, appelée écluse de Castets (voir commentaire ci-dessus) ;

- l'écluse 52, appelée écluse des Gares, est située à la hauteur de la halte nautique et du port de Castets en Dorthe ;

- l'écluse 51, appelée écluse de Mazerac, est située encore en amont, au niveau d'un ancien moulin.

La petite mais agréable balade terminée, on lève le camp pour aller voir « L'église St Romain, au lieu dit Mazerac situé à l'est du village de Castets en Dorthe. … == > …

… == > … Cette église a été construite au XIe ou XIIe siècle. … == > …

… == > … L'architecture de l'édifice correspond à une structure traditionnelle de son époque de construction. … == > …

… == > … Elle est dotée d'une façade en mur-clocher percée d'un portail gothique et d'un large oculus. … == > …

… == > … Il est flanqué d'une tour d'escalier polygonale. Une petite galerie en bois, en surplomb, couverte, est réalisée pour accéder aux cloches. … == > …

… == > … La nef lambrissée se termine par un chevet plat et deux chapelles latérales forment une sorte de transept.» ( source : http://www.castetsendorthe.fr/z/site.php?act=6_2 )

On quitte Mazerac et on roule jusqu'à Sauveterre-de-Guyenne (33540).

Ayant repéré l'aire pour camping-cars, on s'y installe pour déjeuner.

Après le repas, on visite le village en commençant par la porte Sain-Léger.

Ensuite, on passe par la place de la République avec … == > …

… == > … avec ses maisons à arcades, mais ce n'est pas facile de photographier à cause des voitures !

L’église Notre-Dame est, comme dans toutes les bastides, située au coin de la place centrale.

Au cours de la visite, deux maisons à pans de bois ont retenu notre attention !

On continue notre visite par la porte Saint-Romain.

Puis, la porte de la Font

Et, pour finir la visite, on passe par la porte Saubotte … == > …

… == > … porte qui nous permet de rejoindre le camping-car !

Les ''coulisses'' de l'ancienne herse.

On quitte Sauveterre-de-Guyenne pour nous rendre à l'étape du soir, à Duras (47120)

L'accès à l'aire se fait par un petit chemin étroit et pentu jusqu'à l'entrée du camping municipal (fermé en cette saison). Juste avant le virage, se trouve l'aire de vidange (l'eau fonctionne en cette saison).

Nous sommes installés sous le château que nous visiterons demain...

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A bientôt pour la suite de notre  54ème périple

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De Craponne/Arzon à Égletons , en passant par Arlanc et Cournon d'Auvergne

Périple du 2 novembre 2016  au 23 novembre 2016 

 1er  jour :  mercredi 2 novembre  2016

Et voilà, c'est parti pour un 54ème périple qui nous mènera cette fois-ci en Aquitaine, dans les Landes au bord de l'Océan !

On démarre à 13h30, avec un premier arrêt au Super U. de Arlanc (63) pour faire le plein de gasoil. Ensuite, une deuxième halte à Cournon d'Auvergne, chez le concessionnaire camping-cars pour commander une pièce (thermocouple) pour les brûleurs de la plaque de cuisson.

A 16h, on quitte Cournon, direction le plan d'eau d'Égletons (19300) pour la halte de la nuit. Lieu que nous connaissons pour y avoir dormi 2 ou 3 fois.

On arrive au plan d'eau vers 18h15 et il fait déjà nuit ! Température extérieure 12°. On sera seuls sur cette aire.

Demain, deuxième étape …

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De Égletons à Lussac, en passant par Saint-Michel-de-Double et Monbadon

Périple du 2 novembre 2016  au 23 novembre 2016 

 2ème  jour :  jeudi  3   novembre  2016

Départ d'Êgletons à 9h45 et arrivée à Saint-Michel-de-Double (24400) à 12h50 pour le repas de midi.

L'aire est un vaste parking.

Et les services sont gratuits : merci à la municipalité !

Le repas terminé, on fait le tour du village avec tout d'abord le bâtiment abritant la mairie qui (à une certaine époque) séparait l'école des filles de celle des garçons !

« La mairie-école de Saint-Michel-de-Double est un témoignage contemporain de l’école républicaine souhaitée par Jules Ferry.

L’école mairie de Saint-Michel-de-Double est construite le 3 septembre 1883 répondant ainsi aux différentes lois Jules Ferry des années 1878 à 1882. Ce dernier, ministre de l’Instruction publique, remanie profondément l’enseignement primaire en le rendant gratuit, laïc et obligatoire : « Pour les républicains, l’école publique et laïque est la condition indispensable à la formation de citoyens éclairés, puisque l’école est par excellence le lieu d’apprentissage de la démocratie. »

Ainsi, un rapport de l’époque met en avant un manque d’écoles. Par commodités économiques, bon nombre de communes construisent des groupes scolaires couplés à la mairie. C’est le cas à Saint-Michel-de-Double.

Un mur est construit autour de l’école pour éviter les accidents en 1927. Peu après, les instituteurs demandent la création d’une cantine scolaire, en 1933, ''afin que les enfants des villages éloignés qui ne peuvent prendre le repas du midi chez eux trouvent une soupe chaude pendant les mauvais mois de l’hiver'' (délibération du conseil municipal du 12 novembre 1933 : le CM vote 500 francs). »(source : http://visites.aquitaine.fr/mairie-ecole-de-saint-michel-de-double )

Ensuite on se gare à côté de l'église , devant laquelle un poney se promène en toute liberté ! 

« L’église Saint-Michel-de-Double est caractéristique des édifices remaniés à plusieurs reprises au courant du XIXe siècle dans un style néogothique (…)  ... == > ...

 ... == > ... « Entièrement reconstruite en 1850, cette église reçoit une nouvelle cloche en 1839. Enfin, en 1896, on construit le nouveau clocher de 28 mètres de haut, dans un langage architectural néoclassique gothique. » ( source : http://visites.aquitaine.fr/eglise-saint-michel-de-double )

Saint-Michel-de-Double, petit village charmant que l'on quitte pour prendre la direction de l'étape du soir : Lussac (33670).

Malheureusement, une mauvaise programmation du GPS nous fait passer par le petit village de Carsac-de-Gurson (24610).

Une fois le GPS mieux programmé, on continue notre route qui nous fait traverser le village de Monbadon (33570) puis sous le château du même nom.

« Construit au XIVe siècle, le château féodal de Monbadon se situe sur la commune de Monbadon-Puisseguin, à une quarantaine de kilomètres de Bordeaux. ... == > ...

... == > ... À l’origine, Monbadon est une tour de guet. (…) C’est lors de la Guerre de Cent Ans, le 24 avril 1330, qu’Edouard III, roi d’Angleterre, donne « licence » à Indie de Monbadon de fortifier ce poste avancé de Guyenne afin de surveiller les vallées de l’Isle et de la Dordogne. Une véritable place forte est alors édifiée pour offrir une ligne de défense avec les châteaux de Malengin et de Puisseguin entre Castillon-la-Bataille et Puynormand. (…) ... == > ...

... == > ... En outre, le château de Monbadon possède aujourd’hui un vignoble de vingt-cinq hectares. Ce dernier est situé pour majeure partie sur un plateau argilo-calcaire au sous-sol rocheux dont l’altitude est de 109 mètres au dessus du niveau de la mer, soit très proche d’un des deux points culminants de la Gironde, qui est de 114 mètres. Le reste du vignoble s’étale en forte pente au pied du château. Ces terres permettent la production d’un vin de qualité à l’appellation Bordeaux Supérieur Côtes de Castillon.

Le château de Monbadon est un des derniers témoignages d’architecture militaire médiévale subsistant en Gironde. »   ( source : http://visites.aquitaine.fr/chateau-de-monbadon )

Vers 15h, nous arrivons enfin à l'aire de Lussac.

Aire très sympa ,avec les services gratuits (merci à la municipalité), même l'électricité (mais déjà un camping-car squatte la prise).

Petite promenade avec Jaïka dans le parc jouxtant l'aire.

Vue sur le village et le vignoble.

C'est l'automne !

Demain, … l'Océan !

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A bientôt pour la suite de notre  54ème périple

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Demain...

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A bientôt pour la suite de notre  54ème périple

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De Châteauneuf à Chauffailles, en passant par La Clayette puis la Montagne-de-Dun et Mussy-sous-Dun

Périple du 17 octobre 2016  au 25 octobre 2016 

 3ème jour  :  mercredi 19 octobre  2016

Pluie toute la nuit mais ça se calme peu à peu sur le matin.

On flemmarde un peu avant de quitter Châteauneuf pour continuer le périple espérant que le soleil ferait son apparition : non, le temps reste brumeux.

Ci-dessous photo de l'aire de Châteauneuf sous le soleil. (normal, la photo date de la veille !!!)

Ce matin, on démarre vers 10h,30 pour aller jusqu'à La Clayette (71800) à une quinzaine de kilomètres de Châteauneuf.

Assez rapidement, on trouve à se garer sur un grand parking d'où l'on aperçoit le château de La Clayette.

Le château de la Clayette  est proche du centre du bourg, au bord d'un étang.  

Château privé qui ne se visite pas. 

« Le château, construit en 1380, a été jusqu'à la Révolution le centre de l'une des seigneuries les plus importantes de la région. »

« Il subsiste du XIVème siècle les communs munis d'échauguettes, la tour de Paray et la porte fortifiée. » 

« Au XVIIIème siècle, de nouveaux bâtiments furent ajoutés au donjon médiéval et au XIXème siècle, une partie fut remaniée dans un style néo-renaissance.»

« Le château est doté d'un plan d'eau de 33 ha alimenté par une petite rivière "La Genette" et d'un parc. »

Le parc du château de La Clayette s'ouvre exceptionnellement au public à l'occasion des manifestations suivantes :
- un concours hippique fin août ;
- un concours agricole inter cantonal  ;
- les journées du patrimoines mi-septembre ;
- la fête du muguet le 1er mai : cueillette du muguet dans le bois de la garenne.

Ensuite, on se rend au château de Drée  situé sur la commune de Curbigny (71800), à 5 km de La Clayette.

Une fois de plus on regardera le château de dehors !

Visite rapide et comme il est l'heure du déjeuner, on retourne s'installer sur le parking de La Clayette pour manger puis ensuite on ira à la Montagne-de-Dun.

Arrivés au col de Dun par une route très étroite, pas moyen de nous garer, donc pas possible d'aller voir le panorama !! Et impossible de faire demi-tour ! Il nous faut donc continuer la route qui descend (normal, on vient de passer le col) jusqu'à Mussy-sous-Dun (71170), Route avec une très forte pente et vraiment étroite : frein moteur en 1ère sur 5km !!!

Heureusement on arrive sans croiser aucun véhicule à proximité du fameux viaduc de Mussy-sous-Dun.

Ouvrage ferroviaire en pierres du XIXème siècle construit en 1895 lors de l'aménagement de la ligne Paray/Roanne. Composé de 18 arches, il est long de 561 mètres et s'élève à 60 mètres de haut.

Après ce court arrêt pour voir le viaduc, on continue jusqu'à Chauffailles (71170) à environ 5km.

On s'installe sur l'aire prévue pour les camping-cars. Aire vaste mais un pentue (il faut mettre les vérins). Services gratuits. On ne sera pas nombreux ce soir.

On va ensuite faire un tour de ville.

Pas grand chose à voir si ce n'est le château, à la lisière du bourg.

Et à proximité se trouve un joli plan d'eau.

Puis on se dirige vers le centre du bourg pour essayer de trouver une boucherie. Comme il nous a fallu plus d'une heure pour dénicher la seule boucherie du village, MimiManouche fait le plein et principalement du «bœuf charolais» !

Retour à l'aire où un autre camping-car s'est installé : nous ne serons pas seuls ce soir !

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A bientôt pour la suite de notre 53ème périple

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